L'ascension vertigineuse d'un valet de banque dans le monde féroce du Capital.
Le cinéma militant de Costa Gavras...on aime ou on déteste... c'est selon...
En ce qui me concerne j'aime assez son style réaliste et tant pis si certains le trouvent un peu manichéen .
Sa façon ici de décortiquer le monde de la banque est plutôt crédible..
.Un innatendu et impeccable Gad Elmaleh, dans le rôle d'un requin de la finance ainsi qu'une pléiade d'acteurs remarquables nous donnent à voir cette mécanique à broyer des vies entières totalement indifférente au sort de ses victimes...
La fin est d'un réalisme absolu et implacable ; parlant des acteurs de la finance, le personnage principal en plein conseil d'administration alors que les protagonistes se querellent, se tourne vers nous et nous prenant à témoins, conclue en disant:
(...) qu'ils sont comme des enfants... que grâce à eux les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus nombreux et pauvres...peu leur importe...ils s'amusent(...)
On peut voir sans aucune doute
Année de production : 2012