Ainsi lavés, nous faisons demi-tour et allons transpirer sur la grande terrasse illustrée de canons - ceux-là même que des plongeurs ont retrouvé récemment, provenant d'une épave datant du XVIIIème siècle. Derrière nous se trouve le prieuré Saint Nicolas, à ses heures perdues du passé transformé en poudrière. Comme quoi, la religion mène vraiment à tout...
Mais éloignons-nous encore de la ville et dirigeons-nous vers les rochers. Il fait maitenant franchement beau et la balade sur les gros cailloux n'est pas déplaisante. Plus tard dans la journée, pourtant, je me rendrai compte que ce paysage à l'orée de la ville et qui me semble déjà sauvage est un terrain apprivoisé, à côté d'autres lieux beaucoup plus indomptables. A suivre...
