La croisette émue par un aspect peu connu de la Shoah

Par Mickabenda @judaicine

Le film du réalisateur Hongrois László Nemes Le fils de Saül a remué les consciences cette semaine au Festival de Cannes.

Le thème de son premier long métrage s’intéresse au destin d’un juif, Saül, ayant intégré les Sonderkommandos, contraint par les nazis dans les pires tâches de l’organisation de leur plan d’extermination.Il découvre parmi les corps sortis des chambres à gaz celui de son fils, et va tenter de l’enterrer.

Le réalisateur choisit en effet de suivre en permanence son personnage principal de dos, dans un effet de caméra subjective, s’en éloignant rarement, et revenant sur son visage impassible.

Utilisant le flou comme élément inquiétant et de mise à distance, Le fils de Saul est un film-choc, une plongée dans la Shoah, dont on ne ressort pas indemne.

Le film du réalisateur Hongrois László Nemes Le fils de Saül a remué les consciences cette semaine au Festival de Cannes.

Le thème de son premier long métrage s’intéresse au destin d’un juif, Saül, ayant intégré les Sonderkommandos, contraint par les nazis dans les pires tâches de l’organisation de leur plan d’extermination.Il découvre parmi les corps sortis des chambres à gaz celui de son fils, et va tenter de l’enterrer.

Le réalisateur choisit en effet de suivre en permanence son personnage principal de dos, dans un effet de caméra subjective, s’en éloignant rarement, et revenant sur son visage impassible.

Utilisant le flou comme élément inquiétant et de mise à distance, Le fils de Saul est un film-choc, une plongée dans la Shoah, dont on ne ressort pas indemne.