On est ravi de voir le beau George Clooney se prendre un peu moins au sérieux dans Àla poursuite de demain de Brad Bird ( The Walt Disney Company France).
Synopsis : Casey, une adolescente brillante et optimiste, douée d'une grande curiosité scientifique et Frank, un homme qui fut autrefois un jeune inventeur de génie avant de perdre ses illusions, s'embarquent pour une périlleuse mission. Leur but : découvrir les secrets d'un lieu mystérieux du nom de Tomorrowland, un endroit situé quelque part dans le temps et l'espace, qui ne semble exister que dans leur mémoire commune... Ce qu'ils y feront changera à jamais la face du monde... et leur propre destin !
Pourquoi on ira voir ce film ?
Parce qu'il est réalisé par celui à qui l'on doit Ratatouille et qui a reçu en 2005 l'Oscar du meilleur film d'animation pour Les Indestructibles. De plus, sa nomination la même année à l'Oscar du meilleur scénario original et le fait qu'il a également réalisé Mission Impossible : Protocole Fantôme nous laisse présager qu'on aura droit à une intrigue bien ficelée et des scènes d'action bien rythmées.
Parce qu'on adore quand George Clooney enfile ses costumes d'homme ordinaire, comme dans l'excellent The Descendants de Max Payne (2011), où même ses horribles chemises hawaïennes n' arrivaient pas à faire oublier qu'il a été élu homme le plus sexy au monde.
Parce qu'on a droit à deux hommes mûrs et sexy pour le prix d'un avec Hugh Laurie, l'irascible mais irrésistible Dr House, même si ce n'est pas encore cette fois qu'on le verra sourire...
Pour découvrir celle qui est peut-être the next big thing, Britt Robertson, aperçue dans la série Under the dome, série produite Dreamworks, entendez un certain Steven Spielberg. Talent à suivre !
Parce qu'on aime ces films d'aventure maturés de Science-fiction avec une grosse pointe d'humeur, du pur divertissement qui annonce l'arrivée du beau temps !
Deux beaux gosses qui prouvent que tout n'est perdu pour le 3e âge, ce n'est pas la lucky girl Amal Alamudin qui dira le contraire, du bon cinéma pop corn, pourquoi se priver ?