Le sautoir Gaïa existe aussi en vermeil, brossé ou martelé.
Gaïa et Thetys : deux entités mythologiques pour deux nouveautés d’hiver particulièrement désirables. Emmanuelle Zysman s’attache comme toujours à magnifier le métal en exaltant sa surface.
Le sautoir Gaïa est une sphère d’or ou de vermeil, traitée dans différentes finitions : brossée, martelée, sertie de diamants baguettes.
Le bombé voluptueux de sa forme parfaite et pure a été inspiré à Emmanuelle par une gigantesque sphère d’or, magnétisant le regard, lors d’une mise en scène de «L’Or du Rhin» de Wagner, vue à l’Opéra de Paris.
En version martelée, la boule Gaïa, à peine emergée du chaos, parait constellée d’impacts stellaires.
En version diamant, la boule Gaïa dompte le chaos sous une surface satinée et sertie de diamants baguette, comme autant d’offrandes gravitationelles.
En version brossée, la boule Gaïa, matrice féconde, parait irriguée de vaisseaux, comme un champ fertile offert à la lumière du Soleil.
Gaïa engendra Tethys, l’océan premier, peuplé de monstres marins dont les écailles ornent aujourd’hui ce bracelet en vermeil, qui pourrait avoir été fondu avec l’Or du Rhin afin de parer une Lorelei moderne.
La texture de ce jonc en vermeil évoque plus qu’elle ne reproduit de minuscules écailles, celles-ci conférant au métal l’aspect d’un tissu mais aussi celui d’une peau de poisson ou de serpent.