La vie est faite de petits rien… Futilité, celle de faire les courses au supermarché, parcourir dans l’insouciance dans les rayons, le stress avec les enfants, un mari qui parle, qui parle… décrivant sa journée au bureau, une journée comme une autre…
Affiche film « Lorsque l’amour sera Mort ».
Quelques instants, qui feront que…
Tout se mélange, passage en caisse, l’agressivité de celui qui est derrière pressé de voir son tour venir…
Le mari (Pascal Elbé) qui continue de raconter sa journée au travail, sa femme elle s’énerve pour un caddy qui n’avance plus, il pleut…
Encore quelques paroles du mari :
Je n’ai rien pu faire, je l’ai tapé…
Elle (Elodie Bouchez), monte dans sa voiture, elle est comme perdue, ses fils lui font remarquer « maman tu t’es encore trompée de place »…
Un court film, que je vous invite à visualiser, puis retrouvons-nous juste après…
« Lorsque l’amour sera mort » signe une nouvelle fois l‘engagement du cinéma français pour la cause de la Sécurité routière.
Un court-métrage sans images violentes, chocs, comme on en a l’habitude avec les clips de la prévention sur la sécurité routière. Un film qui regarde, tout en s’interrogeant sur son but ? On essaie de comprendre le déroulé.
Seule la fin du film, nous fera comprendre la réalité, son but !
Un scénario se démêlant dans un environnement singulier, si commun. La conclusion du film marquant la fin d’une existence. Finalité qui pourrait toucher n’importe qui d’entre nous demain..
Nul n’étant à l’abri d’une seconde d’inattention, une petite seconde faisant tout basculer.
Les conducteurs de deux-roues motorisés représentent près de la moitié des blessés graves et un quart des morts sur la route. Avec l’arrivée des beaux jours, la vigilance s’impose à nouveau, tant à Paris que sur les routes de province, autant laisser la fiction de ce film où elle est…
Une fiction frappante par son épilogue, et la banalité d’une réalité bien encore et trop souvent ignorée.
Lorsque l’amour sera mort – Un film d’Erick Zonca pour la Sécurité routière.
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