De Felice Varini, je vous ai présenté ici les cercles du MacVal. À La Villette, il déstructure, ou restructure selon ce qu’on en pense, les espaces. Le Pavillon Delouvrier semble bien vide. C’est qu’il faut trouver les points d’où on reconstituera les formes qu’il a dessinées dans l’espace. Ça fait s’agglutiner des petits groupes en trois endroits, le reste étant vide. Mais nous sommes toujours, qu’on le veuille ou non, dans le cadre qui nous contient pour les autres regardeurs. Puis, sortant de ce lieu, et cherchant les arcades que l’artiste a redessinées, on voit partout se modifier le cadre, d’une Folie à une autre, le long d’une pelouse, depuis la terrasse de la nouvelle Philharmonie. J'ai regardé différemment le sol et même le mur du métro.