Editions Pocket
694 pages
A 13 ans, Jane a annoncé un soir à ses parents qu’elle ne se marierait pas ni n’aurait d’enfants. Le soir même, son père pliait bagage. Tout le reste de sa vie, sa mère le lui reprochera.
Dès que la vie lui fait un cadeau, qu’elle se sent heureuse pour un temps, tout lui est repris. Quitter le monde est ce qui lui semble le plus logique. Reste à savoir comment elle va s’y prendre et s’il la laissera le quitter…
J’ai deux très bonnes amies, inconditionnelles de Douglas Kennedy. Je le suis sur Facebook et je trouve toujours ses statuts bien écrits. J’ai donc décidé de sauter le pas, en trouvant ce livre-ci dans un stock de livres neufs sur une brocante.
Waouw! La claque!
Cela faisait longtemps que je n’avais versé des larmes sur un livre. Pour celui-ci, je ne me suis pas privée. Quelle douleur… on ne peut que se mettre à la place de la narratrice, puisque c’est Jane, en plus, qui nous raconte son histoire.
Un bon coup de cœur, pour moi. Encore un livre dévoré en un peu plus de 24 heures, malgré son épaisseur.
Et une participation de plus pour le challenge de Bianca