C’est un projet particulier. Les musiciens ont abandonné leurs saxophones, trombones et autres instruments à souffler pour se saisir de conques, ces coquillages qui ne nous font pas entendre la mer mais les sons de tous les voyages. Et c’est d’ailleurs ce qu’ils nous proposent, des chants en plusieurs langues, qu’elles soient des Caraïbes, d’Afrique du Nord ou d’Afrique subsaharienne, du Japon, d’Australie. Les chants et les musiques rencontrent des percussions, des instruments à cordes. Et ce sont ces rencontres qui offrent à nos pas des danses sans limite, sans frontière.