Incontestablement mon coup de coeur du mois va pour Josef alias Julie Seiller alias la meilleure amie de mon mec. Et ouais ! (je vous raconte même pas le complexe d’inferorité que je me paye lol)
Je vous en parlais déjà ici et ici. Depuis, nous avons écouter l’album plusieurs fois. Plusieurs titres me tournent dans la tête depuis, preuve qu’il me plait vraiment beaucoup.
Un album très éclectique comme je vous le disais, des titres folk, d’autres plus rock, un autre très intimiste piano-voix (je suis moins fan), un titre un peu grung… Des ambiances, une voix… tout ce que j’aime ! Des histoires de « routes » avec des paysages et des gens un peu fous. De New York à San Francisco en passant par le grand Ouest, elle croise sa guitare et ses mélodies naissantes avec les paysages de l’Amérique. Et dialogue avec un voyant à New York, lit le poète Thoreau à Condord, Massachusets, écoute des chômeurs de Kingsman, Arizona. Un road-movie musical, un journal intime panoramique.
Il y a quelque chose de Yael Naïm, de Hindi Zahra dans sa voix, une voix forte, reconnaissable entre mille, pleine de nuances, de chaleur et d’émotion. De celles que je préfère.
Julie Seiller a su s’entourer pour ce beau projet. Gaël Dubois qui fût batteur pour Miossec, Dominic Sonic, Laetitia Shériff, Santa Cruz…
Mes titres favoris : Don’t cry, One tree, Automatic, Sister et Little Bird (un ptit côté nirvanesque dans la mélodie, non ?)
A écouter et à télécharger ici : https://josefsmusic.bandcamp.com/ ou http://www.qobuz.com/fr-fr/album/dry-river-josef
Vivement que l’on puisse la voir sur scène !!!
Mon père joue du saxo, mon amoureux joue du saxo… du coup, c’est un instrument qui m’intrigue et forcément cet artiste présenté comme un prodige du genre ne pouvait qu’attirer mon attention.
Kamasi Washington, compositeur et multi-instrumentaliste de 33 ans dirige sur « The Epic », un orchestre de 32 musiciens et un choeur de 20 personnes. Il est aussi accompagné par son groupe de toujours, nommé “The Next Step” ou “The West Coast Get Down” composé de 10 musiciens, amis d’enfance qui brillent aussi bien dans le jazz que dans le hip hop, l’afrobeat ou toute autre forme de groove. A découvrir !
Moriarty, le retour ! Avec Epitaph Rosemary Standley et son groupe revienne avec un album pop folk dansant toujours emprunt de sonorités de l’ouest américain. Voix nasillarde, banjo mais aussi instrumentalisation moderne, pop rock. Ça swing et ça donne envie de se déhancher. Rosemary Standley raconte des histoires, et elle les raconte bien !
Klaus Waldeck, ayant juste conservé Waldeck comme nom d’artiste, est un auteur-compositeur-interprète autrichien de musique électronique, aussi associé au trip-hop. J’aime beaucoup leur air très jazz un peu rétro et la voix de la chanteuse.
J’ai lu un article sur Emilie Nicolas qui disait que c’était un peu un mix entre Nelwen Leroy et Agnès Obel. Fan absolue d’Agnès Obel je me suis jetée sur google (est ton ami) pour en savoir un peu plus et même si cette artiste vaut en effet d’être écoutée, non il ne s’agit absolument pas du mélange cité ci dessus. Dans ses titres il y a même un petit côté électro que jamais ni Leroy ni Obel n’a jamais exploré. La demoiselle Nicolas, malgré son nom est Norvégienne (mais son papa est français, c’est vrai.
Alabama Shakes est une groupe américain formé depuis 2009. A ses débutes, le groupe faisait surtout des reprises de Led Zeppelin, James Brown, Otis Redding ou AC/DC…
C’est en 2011 qu’ils sortiront leur premier EP avec des titres originaux. Des influences rock et blues qui devraient en séduire quelques un(e)s 😉