Le storytelling commence à être ultra connu au point d'entrer dans l'ADN des managers et des marketeurs de tous poils (et même ceux qui ont supprimé toute trace de poils sur leur tête, c'est dire).
Cela ne veut pas pour autant dire que le storytelling est figé une fois pour toutes et qu'il n'évolue plus : il trace toujours sa route.
Il s'enrichit de nouvelles pratiques te techniques en permanence parce qu'il est au croisement de tellement de disciplines et qu'il est tellement ouvert qu'il intègre, adapte ou initie toutes les bonnes idées qui passent à sa portée.
Parmi les plus récentes de ces bonnes idées, il y a le scrollitelling. Sans erreur d'orthographe ni quoi que ce soit, c'est bien scrollitelling qu'il faut lire.
Autre bonne idée en circulation dans la pratique du storytelling : l'acceptation (enfin), que le storytelling, ce n'est pas "raconter une ou des histoires". Le storytelling, c'est de la perception, un dialogue et surtout pas un monologue. Autrement dit, si on n'est pas ouvert aux autres, si on est auto-centré, et bien il vaut mieux rester dans sa zone de confort, loin du storytelling en tout cas, car il ne peut rien pour vous et vous ne pouvez rien de bon pour lui.
J'ai également écrit un article sur le sujet.