Égérie emblématique de Magnum, Eva Longoria partage avec la marque le goût de la qualité et des bonnes choses. D’origine mexicaine, pays natal des Mayas et du chocolat, sa présence s’avère on ne peut plus légitime dans le cadre de la campagne Magnum Mayan Mystica. D’autant qu’Eva accorde une grande importance à ses racines et à sa culture qu’elle revendique avec fierté…
Avouant volontiers sa passion pour le chocolat, Eva Longoria déclarait récemment son plaisir d’être associée au lancement de Magnum Mayan Mystica, puisque le rôle de princesse maya lui sied naturellement du fait de ses origines. D’autre part, elle évoquait son intérêt pour une entreprise européenne capable de restituer les saveurs traditionnelles ainsi que l’esprit et la culture propres à la civilisation maya.
"Quand la marque Magnum m’a approchée, je n’en connaissais pas les produits puisqu’ils ne sont pas distribués aux États-Unis, mais après les avoir goûtés, j’en suis tombée amoureuse. Je suis devenue une vraie fan et le fait de participer à cette campagne m’a beaucoup plu. Elle est en effet prestigieuse et reflète bien la qualité du produit. J’aime attacher mon nom et mon image à des choses qui sont caractéristiques de ma personne et de ce que j’aime incarner, COMME la richesse, la gourmandise, la séduction ou la sensualité. Ce que je veux dire, c’est que toutes les qualités portées par la marque Magnum sont synonymes de celles que je représente." - Eva Longoria.
MAGNUM MAYAN MYSTICA
Si les conquistadores découvrirent le chocolat chez les Aztèques, c’est bien chez les Mayas que naquit la culture de cette “nourriture divine”. Enivrée par ses effluves raffinés et son goût puissant, c’est bientôt l’Europe tout entière qui lui voua un culte. Magnum retourne aux sources et lance une nouvelle création vraiment craquante baptisée Magnum Mayan Mystica. Conçue pour enrichir la gamme Origine, elle s’inspire directement d’une antique recette que les Mayas avaient élaborée sous le nom d’“or liquide”. Célébrant l’union de plusieurs grands chocolats de qualité qu’elle rehausse d’une pointe d’épices et d’un soupçon de miel, Magnum Mayan Mystica invente une nouvelle façon de mettre tous les sens en émoi !
MAGNUM MAYAN MYSTICA : LA tentation d’une expérience sacrée !
Magnum Mayan Mystica est inspiré de la recette à base de cacao inventée par les anciens Mayas,
près de cinq siècles avant Jésus-Christ, connue localement sous le nom d’“or liquide”. Pour obtenir
ce breuvage sacré, les adorateurs du “xocoatl” mélangeaient fèves de cacao, eau, épices, piment,
miel et parfois d’autres ingrédients comme des fleurs séchées.
Magnum Mayan Mystica remet au goût du jour un parfum authentique venu de l’Antiquité et rend
ainsi hommage aux pionniers du chocolat.
Pour restituer toute la magie de l’expérience sacrée que les Mayas prêtaient à la dégustation de leur
breuvage, Magnum offre un concentré de sensations puissantes et raffinées.
Avec son délicat enrobage de chocolat au lait, Magnum Mayan Mystica nous invite à la découverte
d’un goût 100 % chocolat. Associant les saveurs chaudes et boisées de la cannelle aux rondeurs
sensuelles de la noix de muscade, cette nouvelle référence de la gamme Origine distille ses arômes
avec finesse. Enfin, les notes suaves et sucrées générées par la présence d’une pointe de miel
viennent couronner cette expérience extatique.
MAGNUM MAYAN MYSTICA : L’HOMMAGE AU DIEU CACAO
Peuplant la région méridionale du Mexique, les Mayas donnaient au cacao une place primordiale dans leur société. D’après leurs légendes, c’est Kukulkàn, le fameux Serpent à Plumes, qui déroba le chocolat dans les Jardins de Tula, équivalent du paradis chez les Mayas, afin de l’offrir en partage aux êtres humains.
Des fèves de cacao les Mayas faisaient un beurre magique aux vertus médicinales. Ils concevaient également un breuvage qu’ils dédiaient aux divinités et qu’ils baptisèrent “cacahuatl” ou “xocoatl” selon les transcriptions. Aussi rendaient-ils quotidiennement hommage au dieu du cacao, Ek Chuah, qui était aussi le dieu… des ardeurs amoureuses !
Le rayonnement de l’“Or Brun”
La connaissance développée par les Mayas dans la récolte et les usages du cacao essaima partout dans la Mésoamérique ancienne où la culture du chocolat occupait une place centrale dans de nombreuses sociétés. Les Indiens Pipils*, par exemple, occupant la partie salvadorienne de l’empire maya, offraient des fèves de cacao pour la naissance ou enduisaient de chocolat le corps des garçons lors du rituel de la puberté. Chez les Bribris, indigènes descendant des peuplades mayas,
il était associé au sang et à la fertilité et considéré comme un médiateur divin entre le Ciel et la Terre, entre l’homme et la nature.
Enfin, pour le peuple aztèque, il était si prisé qu’il se retrouva au coeur de leur système monétaire et leur permit de mettre en place un vaste réseau économique. Sa consommation était considérée comme un luxe réservé aux militaires, pour démultiplier leur force au combat, et aux élites pour ses effets aphrodisiaques, à l’instar de l’empereur Moctezuma Ier** qui buvait son chocolat dans une coupe d’or avant d’aller visiter son harem.
*Les Pipils peuplaient le Salvador (qu’ils appelaient Cuzcatlan) à l’ouest du fleuve Lempa, avant l’arrivée des conquistadores espagnols. **Moctezuma Ier (en nahuatl, Motecuzoma Ilhuicamina) est un empereur aztèque qui régna de 1440 à 1469.
Un remède miracle !
Le cacaoyer est une plante dont le produit, le chocolat, est de nos jours reconnu pour ses nombreuses vertus, tant pour le corps que pour l’esprit. Agissant sur l’humeur en secrétant des endorphines, il est porteur de nombreuses substances psychostimulantes utilisées dans les antidépresseurs actuels comme la sérotonine. Riche en magnésium et en vitamines, il ne contient que peu de protéines et n’influence en rien le taux de cholestérol. Son tanin, son fluor et ses phosphates participent même à la protection des dents. Plus important encore, ses flavonoïdes ont un effet antioxydant, c’est-à-dire qu’ils ralentissent le vieillissement et favorisent le renouvellement des cellules. Les Anciens étaient donc bien inspirés de voir dans le cacao une véritable panacée. (Source : Encyclopédie des Plantes Médicinales de Larousse)