Mais c’est sans compter la bonhomie du monsieur qui nous offre un deuxième opus ou rigolade rime avec saudade. Des amours déçues, des ballades tristes mais primesautières, rien de bien neuf mais quelques coups d’éclats sympathiques tels « Le bruit » ou un « Kleenex » qui a du coûter cher (le nombre de marques citées !). Là ou Oldelaf brille, c’est sur scène, alors ne le manquez pas à son prochain passage !