Aahh, Oldelaf… Toute une histoire qui a un peu aidé à faire naître PingMachine (si, quand même !). Oldelaf, c’est l’humour, l’amour, la joie de vivre, la tristitude amusante…
Alors, on lui pardonnera sa demie-heure de retard et on se concentrera sur un set-list de foÔolie, les tubes « Le café », « La tristitude », « J’ai chaud » notamment, un concert pas seulement centré sur son dernier méfait (Dimanche, 2014), mais aussi Le monde est beau (2011), et en forme de rappel (qu’on pourrait appeler une deuxième partie de programme !), un medley de ses chansons d’anamour (« Nathalie », « Bérénice », « Sparadrap » et j’en passe).
Oldelaf, c’est avant tout un spectacle, avec des sketches, de l’impro (en tous cas parfois ça en donne l’impression), et un artiste qui ne laisse pas son ego prendre toute la place – il en laisse à ses talentueux musiciens.
Bref, un concert qui fait du bien.