C'est la dernire mauvaise histoire a la mode aux US, selon le supplément du Monde de ce week-end. De nombreux propriétaires saisis à la gorge par la crise des subprime, sont obligés de se débarrasser de leur bateau de plaisance, ce qui booste le marché des bateaux d'occasion. Il n'ya qu'à faire une petite requete sur Google pour vérifier que ce business commence à prospérer.
Le schema est simple: comme les taux des crédits immobiliers étaient bas il y a deux trois ans, de nombreux nouveaux propriétaires se sont laissés séduire par l'acquisition d'un bateau de plaisance. Un joujou classieux, qui coute au départ entre 100 000 et 300 000 dollars, et qui finit par couter la peau des fesses en raison du retournement du crédit, de la hausse du prix du gas-oil et du cout réel de possession d'un bateau (stationnement, entretien, assurance, etc.).
Comme le disait mon avis Jean, fin connaisseur, un bateau procure deux vraies journées de plaisir: le jour où on l'achète ... et le jour où on le revend.
PS: ce billet est évidemment suscité par la jalousie. J'ai toujours rêvé d'avoir mon propre bateau.
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