J’ai choisi de ne pas allaiter. J’ai fait les tétées de bienvenue et un peu plus mais je n’ai pas voulu aller plus loin. Je n’avais pas le courage ni l’envie à ce moment là. J’ai donc nourri Mouette avec du lait infantile. Mais à la sortie de la maternité avec notre liste de recommandations du pédiatre dont le lait nous nous sommes vite aperçus que ce ne serait pas si simple.
Déjà le lait recommandé n’était pas vendu dans notre pharmacie. On a suivi l’avis de la pharmacienne et pris un autre si ce n’est identique au moins avec les mêmes attributions c’est à dire hypoallergénique (Mouette étant potentiellement sujet aux allergies).
Puis notre pédiatre nous a proposé d’intégrer une cohorte pour un lait infantile. Mais ça ne l’a pas fait avec ce pédiatre et donc on a pas poursuivit.
Ensuite le lait hypoallergénique 1er âge n’a plu suffit à Mouette et on a changé sur les conseils d’une pédiatre de la PMI. Super, ce lait infantile 2ème âge était un des moins cher et surtout se trouvait en grande surface. Parce que bon c’est quand même vachement pratique on ne va pas se le cacher de pouvoir tout acheter au même endroit.
Ensuite on est passé au lait 3ème âge ou de croissance et on a poursuivit dans la même marque. Mais on s’est posé la question du lait de croissance vs le lait de vache. J’avais assisté à une conférence et j’étais peut-être un peu brainwashée (j’avais écrit un article ici). Puis finalement on est passé – avec joie pour notre porte-monnaie – définitivement au lait de vache.
Quelle galère cette histoire de lait. Quelle disparité entre les prix aussi ! Finalement on ne sait pas grand chose sur leur composition si ? Parce que décrypter une étiquette c’est complexe. Je me souviens que le livre LE BON CHOIX pour vos enfants dédiait tout un chapitre aux laits et autres petits pots. Il faudrait que je le réemprunte à la bibliothèque si on se lance un jour dans un second nain. En tout cas je n’aurais pas envisagé que ce sujet du lait me questionne autant !