Magazine Culture
Gooiland Elektro enverra dès juin de la techno sombre et du patronyme cryptique avec les sorties consécutives des maxis de FOQL, d’Utroid, de FFFC et de Monocorpse. De ce dernier justement, mis à part sa nationalité hollandaise et son penchant plus qu’avéré pour l’occultisme et le voodoo – mis en lumière par son unique sortie précédente, Demo 2013 sur Fort Grofusch, mix dark-techno entrecoupé d’extraits du documentaire de Maya Deren, Divine Horsemen: The Living Gods Of Haiti – , on n’est pas en mesure de baragouiner autre chose que la pertinence de ce consistant monolithe électronique, savamment coulé dans les aciers d’un Ancient Methods, avec quelques stridences tenant son monde en halène. Une mise en images auto-produite du morceau Arrival cogne encore et encore sur ce clou rouillé, déjà bien enfoncé, de l’addiction.
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