Décembre 2015, prochaine conférence sur le réchauffement climatique, chacun va faire part de ses intentions, y apporter ses arguments pour faire peser la balance, seulement comme a dit justement Jean Lemieux, " Rien de plus suspect que les bonnes intentions ".
Dans l'assemblée, les intervenants seront toujours tentés de faire pencher cette balance de leur côté plutôt qu'en faveur de la planète.
Hélas ! mon allégation est confirmée par Pierre-Yves Touzot dans son ouvrage " Comme un albatros " :
" Les médias nous sensibilisent aux problèmes environnementaux, nous effraient avec les répercussions du réchauffement climatique, les populations culpabilisent et les hommes du marketing en profitent. Le vert est à la mode, les produits bio s'arrachent, les ventes augmentent, les profits explosent, mais en réalité rien ne change. "
Voici une phrase criante de vérité prononcée par Hugo Chávez le 18 décembre 2009 à Copenhague :
" Si le climat était une banque, les pays riches l'auraient déjà sauvé. "
Blaise Pascal a dit " On ne voit rien de juste ou d'injuste qui ne change de qualité en changeant de climat. ", alors que toujours " Ce beau climat de Provence serait froid si un soleil torride ne venait le réchauffer. " selon Adolphe Thiers.
Pour Robert Anson Heinlein, " La météo c'est ce à quoi on s'attend, le climat c'est ce que nous obtenons. ", or cette jolie Provence pourrait demain être un désert.
Un certain Jean-Jacques a prétendu que :
" Les climats, les saisons, les sons, les couleurs, l'obscurité, la lumière, les éléments, les aliments, le bruit, le silence, le mouvement, le repos, tout agit sur notre machine, et sur notre âme. "
" C'est d'âme qu'il faut changer, non de climat. ", rétorque à titre posthume Sénèque aux hommes qui n'ont guère écouté son conseil.