Retour sur la Pysché Night qui accueillait Moonsters et son rock old school 70′s, et Animali, tout aussi psyché mais plus électro. Deux beaux concerts de groupes très prometteurs.
Moonsters entame la soirée avec un gros son mélangeant parfaitement les grosses guitares à un clavier psychédélique. L’entame est tonitruante, le quatuor n’hésitant pas à laisser libre cours à quelques improvisations (sans doute bien répétées). Le set met à l’honneur quelques morceaux de l’album récemment sorti, mais, de façon surprenante, pas mal de chansons qui n’y figurent pas.
C’est très en place et pourtant le groupe n’hésite pas à sortir des sentiers battus, faisant durer les morceaux (parfois un peu trop) ou en nous offrant un solo de batterie comme on n’en voit plus très souvent. Une belle surprise qui vient confirmer les espoirs nés de leur superbe premier album de rock old school à télécharger gratuitement sur leur site.
Animali annonce vite la couleur psyché avec leur décor déjanté et les touches de fluo un peu partout. Très classe, bravo les gars ! Si Moonsters s’affichait avec un rock psyché dans la tradition des années 70, Animali ajoute une touche électro dont le rendu en live est très convaincant. Comme sur les morceaux studio, le groupe réussit le pari ambitieux de distiller toutes sortes de détails sonores. Le mélange de la guitare acoustique mêlée aux incontournables claviers est parfaitement dosé. The Alchemists confirme en live son statut de tube indéniable, puissant et donc incontournable.
Who s’affiche également comme un classique du groupe tant son intensité nous embarque sans mal. Inspiré et enthousiaste, le quintette termine avec une reprise de Grand National, pour le plus grand plaisir des groupies en mal de bougeotte disco.
Dans deux styles différents, les deux groupes ont confirmé les espoirs que l’on place en eux. Pas de doute qu’on continuera d’en entendre parler.
Retour sur la Pysché Night qui accueillait Moonsters et son rock old school 70′s, et Animali, tout aussi psyché mais plus électro. Deux beaux concerts de groupes très prometteurs.
Moonsters entame la soirée avec un gros son mélangeant parfaitement les grosses guitares à un clavier psychédélique. L’entame est tonitruante, le quatuor n’hésitant pas à laisser libre cours à quelques improvisations (sans doute bien répétées). Le set met à l’honneur quelques morceaux de l’album récemment sorti, mais, de façon surprenante, pas mal de chansons qui n’y figurent pas.
C’est très en place et pourtant le groupe n’hésite pas à sortir des sentiers battus, faisant durer les morceaux (parfois un peu trop) ou en nous offrant un solo de batterie comme on n’en voit plus très souvent. Une belle surprise qui vient confirmer les espoirs nés de leur superbe premier album de rock old school à télécharger gratuitement sur leur site.
Animali annonce vite la couleur psyché avec leur décor déjanté et les touches de fluo un peu partout. Très classe, bravo les gars ! Si Moonsters s’affichait avec un rock psyché dans la tradition des années 70, Animali ajoute une touche électro dont le rendu en live est très convaincant. Comme sur les morceaux studio, le groupe réussit le pari ambitieux de distiller toutes sortes de détails sonores. Le mélange de la guitare acoustique mêlée aux incontournables claviers est parfaitement dosé. The Alchemists confirme en live son statut de tube indéniable, puissant et donc incontournable.
Who s’affiche également comme un classique du groupe tant son intensité nous embarque sans mal. Inspiré et enthousiaste, le quintette termine avec une reprise de Grand National, pour le plus grand plaisir des groupies en mal de bougeotte disco.
Dans deux styles différents, les deux groupes ont confirmé les espoirs que l’on place en eux. Pas de doute qu’on continuera d’en entendre parler.
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