L’anglais Niall Galvin débarque avec son surf rock ultra cool et rempli de soleil pour l’un des albums les plus réussis de l’année, et sans aucun doute le plus cool du moment !
Cheveux au vent
Les beaux jours sont arrivés et cette chronique tombe à point nommé. Niall Galvin, aka Only Real, vient en effet de sortir son premier album The Jerk At The end Of The Line après plusieurs démos homemade et un EP prometteur Days In The City en 2013. Mais le soleil a réellement culminé au moment de la sortie du titre Cadillac Girl, une bombe surf rock à vouloir prendre le large les cheveux au vent.
Tubes redoutables
Les prochains singles délivrés ensuite au compte-gouttes avant la sortie de l’album comme Can’t Get Happy confirmeront notre enthousiasme : les morceaux de The Jerk At The end Of The Line seront d’une efficacité sans faille. On attendait alors impatiemment sa sortie et nous n’avons pas été déçus. Le constat est sans appel : la quasi-totalité des titres pourraient faire l’objet d’un single. Jerk, Daisychained, Blood Carpet et Pass The Pain sont redoutables. Même le risqué Petals, mélange d’électro et de hip-hop, est plutôt convaincant.
Car la touche singulière d’Only Real, c’est l’association de guitares chaleureuses aux textes rappés de Niall avec toujours pour ambition de proposer une musique enjouée, se rapprochant des débuts de Jamie T, de King Krule ou des compos sans prise de tête de Mac Demarco. Le Intro (Twist It Up) rappelle aussi les réjouissants samples de The Avalanches. Au summum de la coolitude, Only Real distille sans temps mort une happy pop entraînante, entêtante et barrée, juste ce qu’il faut. Un album feel-good de la première à la dernière seconde. A déguster au soleil sans modération.
L’anglais Niall Galvin débarque avec son surf rock ultra cool et rempli de soleil pour l’un des albums les plus réussis de l’année, et sans aucun doute le plus cool du moment !
Cheveux au vent
Les beaux jours sont arrivés et cette chronique tombe à point nommé. Niall Galvin, aka Only Real, vient en effet de sortir son premier album The Jerk At The end Of The Line après plusieurs démos homemade et un EP prometteur Days In The City en 2013. Mais le soleil a réellement culminé au moment de la sortie du titre Cadillac Girl, une bombe surf rock à vouloir prendre le large les cheveux au vent.
Tubes redoutables
Les prochains singles délivrés ensuite au compte-gouttes avant la sortie de l’album comme Can’t Get Happy confirmeront notre enthousiasme : les morceaux de The Jerk At The end Of The Line seront d’une efficacité sans faille. On attendait alors impatiemment sa sortie et nous n’avons pas été déçus. Le constat est sans appel : la quasi-totalité des titres pourraient faire l’objet d’un single. Jerk, Daisychained, Blood Carpet et Pass The Pain sont redoutables. Même le risqué Petals, mélange d’électro et de hip-hop, est plutôt convaincant.
Car la touche singulière d’Only Real, c’est l’association de guitares chaleureuses aux textes rappés de Niall avec toujours pour ambition de proposer une musique enjouée, se rapprochant des débuts de Jamie T, de King Krule ou des compos sans prise de tête de Mac Demarco. Le Intro (Twist It Up) rappelle aussi les réjouissants samples de The Avalanches. Au summum de la coolitude, Only Real distille sans temps mort une happy pop entraînante, entêtante et barrée, juste ce qu’il faut. Un album feel-good de la première à la dernière seconde. A déguster au soleil sans modération.
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