Rick et sa bande ont quitté la communauté de la Colline. Leur enthousiasme est vite douché lorsqu’ils se retrouvent par deux fois confrontés aux sbires de Negan, l’homme qui fait trembler tout être vivant aux alentours.
Au secours. Un 2e Gouverneur. Mais celui-ci ne prend même pas la peine de paraître sain d’esprit. Il laisse éclater toute sa perversité et sa cruauté. Quelques années plus tôt, il aurait clairement été diagnostiqué comme psychopathe, ça c’est sûr.
Je dois tout de même avouer que, comme à mon habitude quand il s’agit de bande dessinée, j’avais feuilleté celle-ci sans la lire, juste pour regarder les illustrations. Et c’est là que j’étais tombée sur une scène d’une atrocité insoutenable qui m’avait tant perturbée que j’avais refermé l’ouvrage pour ne plus l’ouvrir durant plus de trois semaines.
La cruauté des êtres humains va tellement loin qu’elle donne la nausée. Et cette série excelle dans la démonstration des travers humains.
Allez, le suivant ne peut pas être pire.
KIRKMAN R. & ADLARD C., Walking dead 16, Terrifant Delcourt, 2012