Auteur :
Kiera CassSortie : 2014
Note : 4/5
Résumé : UNE SEULE CANDIDATE SERA COURONNÉE
Trois cents ans ont passé et les États-Unis ont sombré dans l'oubli.De leurs ruines est née Illéa, une monarchie de castes.
Mais un jeu de télé-réalité pourrait bien changer la donne.
La Sélection a bouleversé la vie de trente-cinq jeunes filles. Déchirées entre amitié et rivalité, les quatre candidates encore en lice resteront liées par les épreuves qu'elles ont dû surmonter ensemble. Entre les intrigues amoureuses et celles de la cour, c'est une lutte de tous les instants pour demeurer fidèles à leurs idéaux.
America n'aurait jamais pensé être si près de la couronne, ni du cœur du Prince Maxon. A quelques jours du terme de la compétition, tandis que l'insurrection fait rage aux portes du Palais, l'heure du choix a sonné.Car il ne doit en rester qu'une...
Et enfin la clôture de cette trilogie ! Elle n'en est en fait pas vraiment une, puisqu'une autre suite, là aussi une trilogie, sera publiée pour poursuivre l'aventure. Mais cette fois-ci, du point de vue de la fille de Maxon et América. (à découvrir)Mais c'est, sur ce dernier tome que ce conclue la sélection, et que nos attente sont enfin comblées !
L’origine des renégats est enfin un peu moins obscure ! On apprend à les connaître et à comprendre leurs intentions. Cependant, l’aspect dystopique du roman restera pour moi, très peu exploités, et finalement presque inutile.
Un gros défaut présent dans tous les tomes, est le nombre de répétions, de situations identiques que fait l'auteur. Des situations que l'on peut retrouver des dizaines de fois dans chaque tome :Je citerais pour exemple :- America ne sait qui choisir entre Maxon et Aspen, qui font tanguer la balance, à chacune de leurs attentions ou leurs faux pas.- Aspen prend d'énormes risques en venant l'a retrouver chaque soir.- Maxon aime América depuis le début, mais ne veut négliger la chance des autres candidates ( tu veux juste en profiter petit coquin^^ )- Les renégats attaquent !Pour sa décharge, l'histoire se déroule dans un huit clos, il est donc plus difficile de laisser libre cours à son imagination