C'était un peu une journée "sans" aujourd'hui.Sans beau soleil, mais avec de la pluie. Sans très beaux paysages, avec tout de même quelques passages agréables dans les forets d'eucalyptus, où ça sent bon.Mais avec trop de routes, de sorties de villes pas bien belles et longues lignes droites. Les première sur ce chemin si agréable depuis mon départ.Si le centre ville d'Aviles m'avait rendu le sourire un instant, c'est beau et on m'y souhaite bon chemin des terrasses, ça fait plaisir. Mais la pluie revient, et je perds du temps à cause d'un automate de banque défectueux qui ne me délivré pas d'argent mais décompte l'opération. Je dois me plaindre un long moment, téléphoner à ma banque. Pour espérer être rembourser. On vous vole beaucoup plus facilement que l'on vous paye, décidément.Du coup mes pensées sont plus sombres qu'à l'habitude. Je repense à la fragilité de ma situation professionnelle. La liberté est un luxe immense mais qui se paye cher. Cela ne peut tenir qu'à l'humeur changeante d'un "client" ou à d'autres facteurs imprévisibles. Il va falloir que je pense à blinder tout ça.Mais tout cela n'a rien à voir avec ma marche d'aujourd'hui, finalement. Les pieds dans la boue, j'avance tout de même, franchi un point sur un large rua. Je trouve une auberge, une chambre plus chère que le prix de mes quatre derniers hebergements réunis, mais cela reste raisonnable (30 €; à ce propos je recommande vivement ma pension d'hier soir, la pension Dominguez a Giron, un prix plus que modique, un bon accueil et une belle chambre dans un grand appartement ancien du centre ville, on s'y sent bien, avec l'impression de voyager un peu dans le temps...) . Décidément les sous me tourmentent trop aujourd'hui. Je m'en vais gouter le cidre local au resto du coin.
C'était un peu une journée "sans" aujourd'hui.Sans beau soleil, mais avec de la pluie. Sans très beaux paysages, avec tout de même quelques passages agréables dans les forets d'eucalyptus, où ça sent bon.Mais avec trop de routes, de sorties de villes pas bien belles et longues lignes droites. Les première sur ce chemin si agréable depuis mon départ.Si le centre ville d'Aviles m'avait rendu le sourire un instant, c'est beau et on m'y souhaite bon chemin des terrasses, ça fait plaisir. Mais la pluie revient, et je perds du temps à cause d'un automate de banque défectueux qui ne me délivré pas d'argent mais décompte l'opération. Je dois me plaindre un long moment, téléphoner à ma banque. Pour espérer être rembourser. On vous vole beaucoup plus facilement que l'on vous paye, décidément.Du coup mes pensées sont plus sombres qu'à l'habitude. Je repense à la fragilité de ma situation professionnelle. La liberté est un luxe immense mais qui se paye cher. Cela ne peut tenir qu'à l'humeur changeante d'un "client" ou à d'autres facteurs imprévisibles. Il va falloir que je pense à blinder tout ça.Mais tout cela n'a rien à voir avec ma marche d'aujourd'hui, finalement. Les pieds dans la boue, j'avance tout de même, franchi un point sur un large rua. Je trouve une auberge, une chambre plus chère que le prix de mes quatre derniers hebergements réunis, mais cela reste raisonnable (30 €; à ce propos je recommande vivement ma pension d'hier soir, la pension Dominguez a Giron, un prix plus que modique, un bon accueil et une belle chambre dans un grand appartement ancien du centre ville, on s'y sent bien, avec l'impression de voyager un peu dans le temps...) . Décidément les sous me tourmentent trop aujourd'hui. Je m'en vais gouter le cidre local au resto du coin.