Série toujours chouette, même si je trouve que les canevas sont assez redondants à la longue. Un coup, le groupe tombe sur un homme seul qui veut les inclure dans son groupe à lui, un coup ce sont des brutes innommables contre lesquelles il faut lutter, et enfin, la découverte d’un site où il ferait bon vivre. Jusqu’au moment où une catastrophe les remet à la rue. Ces schémas reviennent les uns après les autres de manière cyclique. Pourtant, je ne lis pas les tomes à la chaîne, mais là, ça manque un peu d'originalité.
Voilà qu’à la fin du tome 16 apparaît un certain Negan, qui pourrait apparemment concourir contre le Gouverneur pour le poste du monstre de service. En fait, je crois que Rick m’énerve. Et je voudrais que les auteurs s’attachent plus à l’évolution des rapports entre les membres du groupe. Où est Maggie ? On ne la voit plus jamais. La personnalité effacée qu’elle arbore ne correspond pas à celle qu’elle avait à l’origine.
Allez, je vais lire les suivants parce que je pense qu’avec ce nouveau personnage, les choses vont bouger (sans doute horriblement, mais on ne peut pas tout avoir).
Mon billet pour les deux volumes précédents : ici.
KIRKMAN R. & ADLARD C., Walking dead 15, Deuils et espoir, et 16, Un vaste monde, Delcourt, 2012