Commandez sur Amazon: Une semaine de juin
Quatrième de couverture : Alexandre de Sallanches, la cinquantaine désabusée, doit successivement faire face à la mort de Gaston, son père, et à celle de son ami de 30 ans, Félicien. Entre ces deux décès, on croise Geneviève de Sallanches qui aima follement Gaston soixante ans durant ; Eric, le jeune fils d'Alexandre, âgé de 10 ans ; Alice, l'amante épisodique de Félicien ; Louise, avec laquelle Alexandre se surprend à croire à nouveau à l'amour.
Planent sur ce livre, les ombres de Nimier, Chardonne, Morand. Tout y est : les femmes frivoles, les voitures de sport aux moteurs qui rugissent, la fac d'Assas, St Tropez, le puissant bateau à moteur, Cadaquès, les vêtements Hermès, les vins millésimés, avec cette quantité nécessaire et suffisante de légèreté et de cynisme présente dans la moindre formule. A Trouville, on dîne aux « Vapeurs » et à Paris à « La Méditerranée ».
Alexandre et Félicien, c'est trois décennies d'amitié. Toujours là, l'un pour l'autre. Ils ont noyés leur chagrin dans des océans de champagne, écouté en boucle « Melody » des Stones. Plus qu une chanson, un baume... Les filles les ont fait rêver, les femmes les ont enthousiasmés, aimés, parfois trahis. Ils ne savent plus dans quel ordre. Qu'importe. L'amour est une fiction. Au fond d'eux-mêmes, il leur arrive d'y croire encore.