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Son sujet focal est le rôle de la collaboration internationale militaire dans la lutte contre le terrorisme. Il faut préciser que la conférence aura lieu dans l’hôtel Oukraïna (Ukraine) tandis que l’Ukraine n’a pas été inclue dans la liste des 80 pays invités. Conformément au communiqué de presse sur telle décision "il y a la crise de crédibilité évoquant également dans le domaine de la coopération militaire". Cependant ça s’avère d’être très drôle que la conférence dédiée aux problèmes de la lutte contre le terrorisme a été organisé par un agresseur. D’après le communiqué l’un des point d’instabilité dans le monde est l’Europe de l’Est Oriental.
Il est très facile à deviner que cette zone d’instabilité est (qu’on parle de) l’Ukraine. Tout de (quand) même elle n’a pas été invité en tant que participant de la conférence, ce qui évoque une réflexion concernant la perception du conflit à l’Est d’Ukraine par les autorités russes.
La Fédération de Russie dément férocement la participation des ses militaires dans le conflit armés en Ukraine, pourtant cette déclaration peut être réfutée à force de (par) plusieurs preuves, fourni par le côté ukrainien aux observateurs internationaux. La communauté internationale traite le conflit armé au Donbass et l’annexion de Crimée également, c’est-à-dire comme un acte d’agression de la Russie par rapport à l’Ukraine. En conséquence c’est hors question que quelques raisons intérieures ont fait éclater le conflit au Donbass, parce que les militaires russes autant que les mercenaires avec la citoyenneté russes prennent part au combats au côté de la soi-disant "milice populaire" de RPD et RPL.
Ces donnés ont été dévoilés au résultat d pendant l’interrogation des terroristes capturés. Ces personnes sont au plupart les ressortissants de la Fédération de Russie mais officiellement le commandement russe n’admet pas que (nie fort et ferme que) ce sont leurs militaires en essayant d’imposer en à Ukraine et à tout le monde entier le mythe de la guerre civile en Ukraine. L’Ukraine à son tour, a présenté les preuves accablants (irréfutables) du soutien direct des organisations terroristes de RPD/RPL par la Russie. Le fait que sans livraisons régulières du matériel et des munitions de la part de la Russie les affrontement locaux dans les régions de Donetsk et de Lougansk auraient été supprimés par les forces armées d’Ukraine et les forces de l’ordre dans les délais les plus courts.
La poursuite des actions militaires et les martèlements réguliers des positions ukrainiennes du côté des terroristes ont été rendu possible aussi par les "convois humanitaires", qui franchissent illicitement la frontière ukrainienne et acheminent les munitions aux terroristes. Le côté ukrainien autant que les observateurs internationaux ont établi le fait de participation des cadres militaires russes aux batailles au Donbass au côté des terroristes.
Suite à tous les faits susmentionné on pose trois questions:
Comment le pays-agresseur, le pays-parraineur du terrorisme puisse organiser la conférence afin de discuter les mesures militaires dans la lutte contre le terrorisme?
Comment n’importe quel État des 80 invités puisse participer à la conférence sur la lutte contre le terrorisme si en État-organisateur a commis un acte d’agression à l’égard d’un État souverain, ayant occupé la Crimée et qui finance les terroristes du pays voisin en leur livrant du matériel, de l’armement et des munitions; si les unités des Forces armées de la Fédération de Russie font irruption dans le territoires de l’Ukraine et collaborent avec les terroristes en prenant part dans les actions de combats (opérations militaires et de guerre)?
Est-ce que les hauts fonctionnaires des grands puissances mondiales peuvent se permettre de jouer le rôle de figurants d’un spectacle de qualité douteuse, mis en scène par le Kremlin?
Chaque participant potentiel de cette conférence doit tenir compte de sa propre responsabilité de l’escalade ultérieure du conflit à l’Est de l’Ukraine et de l’aggravation générale de la situation dans le domaine de sécurité internationales à cause de sa présence à la conférence à Moscou le 16-17 avril 2015.