Camus ne nous réconcilie-t-il pas avec l'humanité ?, me suis-je demandé. Par exemple, il est bénéfique d'avoir des gouvernants indignes. En effet, pour échapper à leurs malversations nous devons nous transcender. C'est la révolte qui fait l'homme ! Ce qui m'a rappelé la théorie de la complexité :
This balance point - often called the edge of chaos - is where the components of a system never quite lock into place, and yet never quite dissolve into turbulence either... The edge of chaos is where life has enough stability to sustain itself and enough creativity to deserve the name of life. The edge of chaos is where new ideas and innovative genotypes are forever nibbling away at the edges of the status quo, and where even the most entrenched old guard will eventually be overthrown. (...) The edge is the constantly shifting battle zone between stagnation and anarchy, the one place where a complex system can be spontaneous, adaptive and alive. (WALDROP, Mitchell M., Complexity: The Emerging Science at the Edge of Order and Chaos, Simon and Schuster, 1992.)Et la théorie du fait social de Durkheim. La volonté d'absolu, l'animalité sont deux caractéristiques nécessaires d'une société. Cependant, elles ne doivent pas être trop répandues, sans quoi la société est malade. (Les règles de la méthode sociologique. )