Les élections départementales du mois de mars ont permis au parti du petit Nicolas, (le parti du ni ni) de prendre plusieurs places fortes à la rose flétrie (dont la Corrèze, le fief de F. Hollande, le Nord de Martine Aubry !). Le FN, s'en avoir gagné le moindre département, savoure l'augmentation du nombre de ses élus. Le PS, par la voie de Mr Valls, avoue avoir bien résisté d'autant plus qu'il gagne la Lozère (qui vire à gauche pour la première fois).
Finalement tout le monde a gagné !
Ou on fait comme si !
Dans le camp
de la rose flétrie le pire est né, hâte
l’antique tableau d’une gauche divisée qui a perdu son pari ! Valls bout intérieurement ; il est vile haine même s’il cherche à faire bonne figure en
relativisant la montée du FN.
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Je
ne pense pas que cela se corse !
On nous crie gare mais l’heure est au sang-froid et Marine Le Pen, quoi qu’on dise erre (couac
con d’Isère) puisqu’elle n’a pas
décroché le moindre département et en
narre dèche !
Une
militante PS, quelque peu gironde,
abondait dans ce sens :
Vienne que pourra, le gouvernement gère en se faisant le héraut de l’équilibre des comptes
publics afin que ne se creusent les
déficits. Il dit aux ministères : vendez !
On liquide les bijoux de famille !
A l’aube d’un léger frémissement de
croissance Hollande ne veut plus que ça cale,
va, adosse un plan d’investissement à la reprise qui sonne et loue art de la croissance. Flamby veut faire entendre sa voix et même se faire des alliés chez les verts ! Bref, ne
plus faire le mort, bille en tête,
hue (Morbihan têtu ?) !
En perdant
son fief de Tulle, ô Landes, l’hôte
de l’Elysée a quand même trouvé une consolation grâce à la Lozère qui s’étale aux aires de roses et dément
donc l’adage selon laquelle Flamby n’arrête pas de caler !
Au FN on
fait comme si la victoire était belle.
En réalité Marine, lionne a
la bouche dure honorée (bouches du
Rhône aux rets ?) par l’âme aux
zèles ! Oui, elle l’a mauvaise et crache un peu dans la soupe où marne la grimace ! Elle jette dans
ce jus ras : ras le bol de son
père qui se prend encore aise pour
déraper verbalement et qui darde haine,
ras le bol de ces candidats qui, un bas
rhin, font les yeux doux à la
nostalgie pétainiste et tissent maille par maille
haine sur haine ! Nous la verrons bientôt tuer le père quand
allégresse (Cantal et Grèce ?)
nazie réinvestira le cerveau malade du géniteur !
A l’UMP, la
victoire est éclatante, dit l’un à
l’issue de la seconde manche !
Tim et
Marie, récemment encartés ont félicité Nicolas ! Il le trouve
rassembleur ! Mais attention, sur le sort des départements il s’étale peu, Marie, Tim ! Sa posture
n’est pas très saine, Marie, Tim
tant on le voit rouant le désintéressement ! Le petit caporal si haut de scène (talons aidant) ne voient
ces élections que comme tremplin vers les présidentielles de 2017 !
D’ailleurs le petit homme n’a pas que des éloges qui l’ornent. Il a reçu la critique d’une femme (Rachida Dati qui se
demande pourquoi l’ex Président a évoqué
les menus de substitution dans les cantines !) et puis deux d’hommes : Jupé et Estrosi, pour des raisons
différentes…
Yves, Line, deux vieux briscards du système
Bigmalion craignent que le petit Nicolas ne se reprenne la grosse tête et qu’il
perde le nord :
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Tout
ce qu’il évoque l’use, dit
Line ! Il s’autodétruit en somme !
Il s’enlise en noise en la jouant
perso et en se persuadant indispensable lors des réunions ! C’est vrai que sa cote dore au soleil mais gare à ne pas leurrer loirs qui sommeillent !
Marthe, une
vétérante qui a bénéficié d’emplois fictifs à la sauce chiraquienne redoute
aussi que finisse terre sarkozienne
sous la lune jupéiste ! Le Maire de Bordeaux, par sa loi rêche erre dans les mouvances du centrisme d’arrière-garde et loi raie le cher projet lepéniste du petit qui braconne sur des terres
marinières…
Marthe
s’écrie : Jupé est l’homme du passé, qu’il parte et sonne ailleurs, chez les socialos !
On peut
trouver Marthe inique mais peut-être
a-t-elle l’âme heurtée, maux aux ailes
de vieille chouette qui fait scène,
scinde nid : les Sarkozistes d’un côté, les Jupéistes de l’autre ! Le camp de droite en attrape
mal au rein et redoute que là, dégoût à deux loupe le coach pour les
futures échéances électorales.
Oui, la
droite la plus bête du monde aiguille
âne qui se demande : dans la discipline politicienne quel art-y ai-je ? Problème de Foix, de
repaire, panne d’idées ! Les moutons qui suivent Nicolas bêlent fort en lui voyant perdre
haineux-Rhône, heu, les neurones et
ressortir des vieilles recettes qu’on essarte
depuis des lunes ! Oui l’âne y est vrillant (la Nièvre, hi han) de contorsions multiples : rotation vers le
FN, orientation vers le centre, une vraie girouette orne- orme qui prend racine !
Tout cela termine pour mesurettes, et si (Meuse
eut rétréci ?) digne d’une pièce de boulevard (debout le Var !).
En résumé,
un PS s’élève au jeu du «donnons !»
(c’est les Vosges du Donon ?) sans
avoir les moyens de ses ambitions par obéissance à l’austérité de l’Europe qui
est, de fait, harnais gare aune de
la croissance à un niveau 0, ne lui permettant pas de prendre haute sa voie ! Il se fait
bousculer par la division blindée d’UMPistes dont les chars hantent la rue de Solférino.
Le FN, quant à lui, fêté à aire-haine (fait TARN ?) compte les points et se prépare
pour les prochaines joutes !
Je ne
saurais proposer un bon mot de la fin pour cette chronique. Mais je suis sûr
que le 1° pape et le chef des "pierres qui roulent" sauraient me dépanner : St Pierre et Mick l’ont !