L’attaque cérébrale constitue l’une des causes majeures de décès et de handicap chez les personnes âgées. (Source : « Les échos – AFP »)L’accident vasculaire cérébral est provoqué par la rupture d’un vaisseau dans le cerveau ou l’occlusion d’une artère cérébrale. Le meilleur moyen de se prémunir de l’accident vasculaire cérébral consiste à en connaître tous les symptômes pour pouvoir réagir dans l’immédiat, tandis que le plus efficace est, bien sûr, de déterminer comment l’éviter.Les symptômes d’un accident vasculaire cérébralIl est indispensable de reconnaître tous les facteurs qui favorisent un accident vasculaire cérébral.
Il y a risque d’AVC lorsque la personne ressent brutalement une faiblesse sur un côté du corps ou une perte de motricité d’un bras ou d’une jambe.
La difficulté d’élocution ou de compréhension, qu’on appelle aussi trouble de la parole, peut également constituer un symptôme de l’AVC. On peut constater une baisse très brutale de la vision d’un œil.
Il faut aussi ajouter que la paralysie du visage constitue un autre signe d’une attaque cérébrale.LE symptôme le plus alarmantLa cause principale et le premier indice d’une attaque cérébrale sont l’hypertension. Une personne est atteinte de cette maladie lorsque la pression artérielle est anormalement élevée.
Laissée sans traitement, l’hypertension attaque les vaisseaux et le cœur entraînant alors un AVC. Il faut savoir que même si ces différents symptômes permettent de réduire le risque, l’AVC reste encore la troisième cause de handicap et de décès chez les seniors, sachant que 150000 personnes sont touchées par l’AVC.Comment éviter les accidents vasculaires cérébraux chez les seniors ?On a pu voir qu’un accident cérébral vasculaire engendre de lourdes conséquences. Il est donc nécessaire de prendre certaines dispositions pour l’éviter et le prévenir.
En premier lieu, il faut savoir qu’avec l’âge, il existe une multiplication des problèmes pathologiques propres à ces personnes âgées. C’est la raison pour laquelle le risque d’AVC est plus fréquent et accru chez ces derniers.
Pour réduire le risque d’AVC, il faut rabaisser la tension artérielle de 140/90. C’est la meilleure façon de réduire le risque d’AVC.
Toutefois, elle dépend du patient seul et de son comportement. S’il a eu un AVC sans qu’on ait pu le prévenir, certains moyens permettent de réduire les séquelles. Il s’agit cette fois-ci de reconnaître les symptômes afin de pouvoir agir vite. À cet effet, une prise en charge très rapide permet incontestablement de réduire les séquelles.