Voici ce que j'écrivais le 13 06 2009 à propos de l'airbus "descendu" au large du brésil, le 1 juin 2009, dans "Le forum-sur -la-toile"
Bonjour tout le monde,
Il nous faut bien parler aujourd'hui de cette odieuse attaque américaine contre l'airbus français!
La militarisation de cette affaire m'a tout de site mis la puce à l'oreille; l'armée brésilienne et même américaine (quelle duplicité!) ont pris beaucoup trop vite
cette affaire en main...en étouffant toute enquête civile.
Très probablement la société Airbus dérange fortement Boeing ou Lockheed Martin dans les très convoités contrats d'attribution des marchés militaires et civils dans
le monde.
Dès le début de cette affaire, j'ai su que l'on entendrait PAS le président des Français, très au courant des capacités MHD des Américains (et des Russes...), se
lamenter sur le sort de ses pauvres compatriotes. Mais Sarkozy Peut-il ou Veut-il se permettre d'être patriote ?
Au niveau du crash lui-même, ce qui laisse à penser que nous avons affaire à une attaque scalaire est une série de faits
bizarres.
En premier lieu donc, la militarisation des recherches et le "rapatriement" des objets de l'avion et des corps des passagers en zone militaire.
Ensuite, et dès le départ, l'assurance péremptoire d'un officiel d'Airbus assurant que l'on ne retrouverait PAS les boîtes NOIRES des appareils ! Et qu'il ne
fallait PAS y compter ! Sans Blague !
La théorie selon laquelle la foudre aurait frappé l'appareil ne tient pas la route. Il a été dit dans "le Monde" que les circuits électriques de l'avion AF 447 se
sont éteints progressivement sur trois minutes, et qu'au bout de deux minutes, c'est le circuit de secours qui avait pris en charge les commandes de sauvegarde de l'appareil, pour s'éteindre
aussi au bout d'une minute!
Drôle de foudre ! (pour la même raison, l'hypothèse d'une bombe est écartée).
Je savais dès le départ que l'on ne retrouverait pas de passagers, et que si on en retrouvait (apportés d'ailleurs?), l'on ne pourrait voir leurs corps...Vous avez
vu un corps ? Non. Aujourd'hui même, un homme est venu près de la caserne (interdite d'entrée, et représentée par un officier comme porte-parole) pour chercher sa soeur, avec photo. Le médecin de
la caserne a fait savoir que de toute façon les corps seraient dans un état effroyable (ben tiens), et que jamais il ne la verrait.
Mais admettons que le quart des passagers a bien été retrouvé...S'ils ont été RetrouvéS, c'est qu'ils n'avaient pas de ceinture au moment du crash. Or les circuits
électriques ont mis trois minutes à s'éteindre: cela suggère une attaque en douceur, d'apparence, qui fait peu à peu ses dégâts et qui au départ n'affolle pas les pilotes, ni à fortiori les
autres membres d'équipage.
Cela peut aussi suggérer une sorte d'indolence qui s'abat sur tous les passagers et membres d'équipages de l'avion, accompagnée d'une fascination pour des lueurs
étranges, comme ces lueurs vertes que des dizaines de photographes chinois ont pu photographier au Sichuan, pendant toute l'attaque MHD (magnéto-hydro-dynamique) sur cette région agricole riche,
pendant les deux jours qui ont précédé l'effroyable tremblement de terre de 2008 . Faudra que je vous parle de cela aussi.
Lors d'une attaque scalaire, la pression au niveau de la cible chute très rapidement; dans un appareil, les systèmes électriques deviennent incohérents et les
structures métalliques souffrent de dégâts dans l'assemblage. Il a fallu 2 jours pour le Sichuan, 100 000 morts. Il a fallu 3 minutes sur le vol AF447, 228 morts.
Souvenons-nous d'une phrase anodine de Jacques Chirac sur l'éventualité d'une attaque nucléaire (de l'Iran) sur un autre pays (ça n'a apparemment rien à voir, mais
lisez ce qui suit) ; il a dit: "A peine un missile iranien commencera à s'élever dans l'air, que ce missile et sa base de lancements seront détruits.
Un seul outil peut faire aussi bien: la projection MHD.
Suivons de près le déroulement de cette histoire, et surtout, essayons de voir des corps de passagers!!! Cela, en tant que détective, ça m'intrigue
fortement.
Ce qui suit est la version officielle en ce jour du 28 mai 2011, qui se contente surtout, aujourd'hui, de faire de "l'investigation" sans absolument rien conclure; l'Ordre Mondial, qui a ordonné cette attaque peut faire plier le gouvernement français à l'avenir pour toutes sortes de vassalités ultérieures.
On en parle toujours pas des corps et le peu de gens qui ont été retrouvés n'ont pu faire l'objet d'aucune assertion ou certitude d'aucune
sorte.
Rio-Paris : l'ombre d'une erreur de pilotage
pour Le Monde.fr | 27.05.11 | 15h16
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Quatre minutes, vingt-trois secondes. Le drame du Rio-Paris, qui a causé la mort de 228 personnes le 1er juin 2009, s'est joué très vite, selon la note publiée, vendredi 27 mai, par le Bureau enquêtes accident (BEA).
Ce document, qui se contente d'établir des éléments factuels relevés par les boîtes noires et ne commente pas les décisions de l'équipage, suggère pourtant que celui-ci, confronté à des indications de vitesse erronées, a commis une erreur de pilotage. Le pilote aurait définitivement perdu le contrôle de l'appareil en le cabrant, c'est-à-dire en relevant le nez de l'Airbus pour tenter de le récupérer.
Entre le brusque désengagement du pilote automatique provoqué par la défaillance des sondes Pitot – à cause du givre accumulé lors du passage à l'intérieur d'une masse nuageuse – et l'arrêt des enregistrements des boîtes noires, tout s'est déroulé très rapidement.
A 2H08, l'Airbus A330 entreprend de dévier légèrement sa route sur sa gauche pour éviter un amas de nuages. Malgré tout, les turbulences augmentent et l'équipage décide de réduire la vitesse. Deux minutes plus tard, le pilote automatique se désengage car les indications de vitesses sont devenues incohérentes. Le chiffre qui apparaît côté gauche – celui du pilote aux commandes – ne correspond pas à celui qui s'affiche au centre du cockpit. De toute évidence, une partie des sondes Pitot ne fonctionnent plus et ne donnent plus d'indications fiables. L'incohérence entre les diverses vitesses affichées durera un peu moins d'une minute. A 2H10, l'alarme de décrochage retentit dans l'habitacle deux fois de suite. "On a perdu les vitesses, alors" lance le pilote.
Comment réagit-il ? D'après le BEA, "l'assiette de l'avion augmente progressivement au-delà de 10 degrés et il prend une trajectoire ascendante". A 2H10 et 51 secondes, le pilote "maintient son ordre à cabrer" autrement dit, il lève le nez de l'appareil. Simultanément, il appelle à plusieurs reprises le commandant de bord qui, en repos, n'est pas présent dans le cockpit.
Selon un expert, cette décision "est inexplicable". Selon lui il aurait été préférable "d'incliner l'avion, de baisser le nez, afin de le remettre à plat et reprendre de la portance".
A 2H11 et 40 secondes, le commandant de bord entre dans le poste de pilotage . "Toutes les vitesses enregistrées deviennent invalides et l'alarme de décrochage s'arrête". A 35 000 pieds d'altitude (un peu plus de 10 00 mètres), l'équipage se trouve aux commandes d'un appareil incontrôlable qui va monter jusqu'à 38 000 pieds avant de perdre irrémédiablement de l'altitude. "On n'a aucune indication qui soit valable", constate le commandant de bord.
A 2h12, pourtant, les vitesses redeviennent valides et l'alarme de décrochage se réactive mais il est trop tard. A 2h14 et 28 secondes, après une descente qui aura duré 3 minutes 30, l'appareil s'abîme dans l'Atlantique avec une assiette de 16,2 degrés et une vitesse de 198 kmh.
Jean-Michel Normand
Les dernières minutes du vol AF447
LEMONDE.FR | 27.05.11 | 21h18
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Le BEA révèle les premiers enseignements des boîtes noires du vol AF 447
LEMONDE.FR avec AFP | 27.05.11 | 12h55 • Mis à jour le 27.05.11 | 15h55
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Les boîtes noires du vol AF 447 entre Rio et Paris ont été retrouvées au fond de l'Atlantique près de deux ans après l'accident de l'Airbus, le 1er juin 2009.AP/Johann PESCHEL
Le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) pour la sécurité de l'aviation civile a publié vendredi 27 mai
une note contenant les premières
constatations tirées de l'exploitation des boîtes noires du vol AF 447, qui s'est abîmé dans l'Atlantique le 1er juin 2009, entraînant la mort de 228 personnes.
Le BEA explique procéder à cette publication afin d'informer les familles des victimes et le public, critiquant le fait que des "informations parcellaires et souvent approximatives" ont été régulièrement publiées dans les médias depuis le 16 mai.
"Cette note décrit de manière factuelle l'enchaînement des évènements qui ont conduit à l'accident, et présente de nouveaux faits établis. Les premières analyses seront développées dans le rapport d'étape, dont la publication est prévue à la fin du mois de juillet", indique le communiqué. "C'est seulement après un long et minutieux travail d'enquête que les causes de l'accident seront déterminées et que des recommandations de sécurité seront émises, ce qui est la principale mission du BEA. Elles figureront dans le rapport final".
TROIS MINUTES TRENTE DE CHUTE
Parmi les enseignements de cette note, on apprend que les pilotes ont lutté pendant plus de quatre minutes avec les commandes de l'appareil avant le crash. Ils ont par ailleurs vu s'afficher deux vitesses différentes pendant moins d'une minute, l'une d'elles indiquant une chute brutale de la vitesse.
Au moment de l'événement, le commandant de bord était en repos tandis que les deux copilotes se trouvaient dans le cockpit, mais le commandant est revenu dans le poste de pilotage "environ 1 minute 30 après le désengagement du pilote automatique", précise le document du BEA.
Après le désengagement du pilotage automatique, l'A 330 d'Airbus est monté jusqu'à 38 000 pieds, puis l'alarme de décrochage s'est déclenchée, et l'avion a décroché. "Les ordres du pilote en fonction ont été majoritairement de cabrer", souligne le BEA, précisant que la descente a duré trois minutes trente, pendant lesquelles l'avion est resté en situation de décrochage. "Les moteurs ont fonctionné et toujours répondu aux commandes de l'équipage", précise le rapport.
AIR FRANCE REND HOMMAGE AU PROFESSIONNALISME DES PILOTES
Dans un communiqué, Air France a réagi à la publication de la note du BEA. La compagnie aérienne y salue le "professionnalisme" de l'équipage du vol AF 447, et notamment des pilotes. "Il apparaît que le commandant de bord a rapidement interrompu son repos pour rejoindre le poste de pilotage", indique le texte. "L’équipage, rassemblant les compétences des trois pilotes, a fait preuve de professionnalisme, engagé jusqu’au bout dans la conduite du vol, et Air France souhaite leur rendre hommage".
Le groupe indique également que "la panne des sondes de vitesse est l'événement initial qui entraîne la déconnexion du pilote automatique et la perte des protections de pilotage associées".
Airbus salue un "pas important" pour la compréhension de l'accident
Le constructeur a indiqué que la publication des données contenues dans la boite noire de l'A330 qui s'est abîmé dans l'Atlantique il y a près de deux ans constituait un "pas important" pour comprendre les causes du drame.
"Les informations préliminaires publiées par le BEA aujourd'hui sont conformes aux
faits contenus dans les rapports préliminaire et d'étape du BEA", indique la filiale d'EADS dans un
communiqué.
Elles "constituent un pas important en vue de l'identification de la totalité de la chaîne d'événements qui a conduit à l'accident tragique du vol Air France 447", déclare le
constructeur, en ajoutant qu'il continuera de collaborer avec le BEA dans son enquête.
Evidemment, les lèche-cul du régime que sont Air-France et surtout Airbus (le gouvernement français a par exemple sacrifié pour Airbus toute l'industrie textile française - en laissant entrer des produits médiocres et bon marché chinois- rien que pour vendre quelques Airbus à la Chine) ne vont poser aucune bonne question et feront même leur "mea culpa" en accusant des sondes Pitot de tous les maux aériens.
228 personnes sont décédées pour faire pression sur Sarkozy d'une part, et pour tester une fois de plus et en temps réel la puissance multi-stratégique et la puissance de feu de l'ordre mondial détrimental.
Un autre appareil a été détruit au-dessus de l'Egypte dans des circonstances tout aussi douteuses, au-dessus de la mer Rouge; l'Egypte est une succursale de l'Amérique...
Les Français ont été "sommés" par les Egyptiens de la "boucler" sur cette affaire... et toute enquête s'est arrêtée.
Si vous croyez tout ce
qui se dit à la télévision, et surtout ce qui ne se dit pas, cultivez des poireaux, faîtes paître des chèvres et pleurez votre impuissance...
Un dernier petit exemple, pourquoi faut-il monter un tel "cirque" : des boîtes noires dans des aquariums... ne les a-t-on pas retirées de l'eau, d'abord, pour les y mettre ? Où bien nous fera-t-on croire qu'elles n'ont pas encore été ouvertes, depuis les 2 ans où elles ont été retrouvées ?
C'est fou ce que ces monstres de la BEA se préoccupent de transparence, pour calmer notre douleur !
feyd
harkonnen