" Il n'existe rien en dehors de la conscience ".
Toutes les planètes de notre système solaire, à l'exception de Pluton, sont issues du Soleil. Une planète "vient au monde" brusquement, expulsée de notre étoile ET placée sur un parcours appellé "orbite matricielle", intérieure à celle de Mercure.
Actuellement, l'orbite matricielle est occupée par la planète nouvelle nommée Arrakis, si proche du Soleil qu'elle nous est invisible; pourtant sa présence se fait sentir (lire "La vie des Maîtres" de Baird Spalding) .
Arrakis se trouve ici, au delà de Mercure, que l'on voit en noir, en transit devant le Soleil. Difficile de voir la nouvelle planète sur un fond (solaire) d'une telle intensité énergétique. Image prise par Soho.
Il y a 9,6 milliards d'années, est née la planète Neptune. Ensuite est née Uranus, qui l'a remplacée sur l'orbite matricielle, et Neptune a été repoussée d'un "cran" et placée sur l'orbite occupée actuellement par la planète Mercure. Puis est née Saturne, Jupiter, Mars, la Terre, Vénus, Mercure ...et toujours les planètes nées précédemment ont été repoussées d'un cran orbital.
Notre système solaire ne peut "accueillir" et retenir que 9 planètes, et toutes sont déjà là. Donc, quand la dixième planète va "naître" du Soleil, en repoussant Arrakis et toutes les autres, Neptune va devoir quitter le système solaire.
Ci-dessus: Neptune, photographié au-dessus de l'un de ses pôles; la planète la plus ancienne et la plus éloignée du système solaire sera un jour expulsée de son orbite, s'en ira à l'écart des autres pour "exploser". Cette photo absolument remarquable montre l'inévitable "trou au pôle", commun à chaque planète, avec en plus, nettement visible, une "émanation" lumineuse éblouissante.
Autre particularité, cette tâche noire à proximité du pôle... De certaines planètes, un arceau électrique sort vers l'espace et entre en communication avec un gros
satellite, par exemple de la taille de Triton, ci-dessous.
Ci-dessus, Neptune, tel qu'il serait vu de Triton, son satellite principal. Travail d'artiste
Mais cette terraformation par naissance du Soleil est une méthode de "construction" des corps célestes, qui s'accompagne d'un phénomène, bien connu, d'accrétion.
L'accrétion consiste en la capture progressive de particules en liberté dans l'espace, voire de "gros" astéroïdes.
Mais il existe une autre terraformation, qui consiste à satelliser de gros astéroïdes, et de les rendre vivants et porteurs de vie, comme une planète.
Ces astéroïdes qui, au départ ,sont en liberté dans et à l'extérieur du système, tendent à "entrer en affinité" avec le Soleil (comme l'astéroîde nommé Pluton ou encore Alpha 1999 KW4, -voir ci-dessous- ) ou avec certaines planètes (comme la Lune pour la Terre, Deimos pour Mars, Prométhée pour Saturne, Callisto pour Jupiter..) pour trouver une place consciente et définie dans le concert des objets célestes.
Cet article se consacre, à partir d'ici, à se pencher sur différents exemples d'astéroïdes venus se placer en orbite autour de planètes ou du Soleil, et devenant peu à peu, par échange de bons procédés, vivants, et parfois capables d'apporter des opportunités... pour les êtres mobiles que nous sommes, par exemple.
Le cas étrange de Alpha et Beta 1999 KW4
Alpha 1999 est un astéroïde géocroiseur (- il rencontre l'orbite de la Terre-) tourne autour du Soleil. Il est étonnant pour au moins 3 raisons: non content de tourner autour du Soleil comme une planète originelle (Mars, ... Neptune) , il s'est aussi associé avec un autre astéroïde (Beta 1999), pour fonder un système binaire très actif; mais en plus, sans proximité avec une planète, il s'est créé un étonnant renflement équatorial.
Voici Alpha et son petit compagnon en animation "wikipedia"
Son compagnon Beta 1999 KW4, en rapproché ci-dessous
Ces deux compères sympathiques voyagent à 4,4 MILLIONS de kms de la terre mais s'en rapprochent parfois beaucoup plus!
Une représentation des 2 objets, tirée de ce site
Remarquez le "ridge", la "crête" ou plutôt le renflement équatorial incroyablement développé de Alpha 1999 KW4; la valeur de cette particularité dépend à la fois de la puissance du courant électrique en cercle dans ce renflement, et des spires magnétiques ( "forces" de Van Allen ) qui, naturellement, prennent naissance autour de ce courant.
Comment en être sûr ?
Regardons ces images radar venues du téléscope d'Arecibo, empruntées à ce site
Voyons la bande bleue autour d'Alpha: elle fait bien transparaître la présence "pure" d'un cercle de force électrique, tout-à-fait inattendu avec l'aspect brutal et très irrégulier de la configuration topologique cet "astéroïde".
Sur Terre, une telle configuration "énergétique" prévaut à l'intérieur du renflement équatorial que nous connaissons, et qui sert de trame intérieure aux forces de
van Allen, dont j'ai parlé plus haut.
Remarquons qu'au pôle Nord d'Alpha 1999 KW4 se trouve aussi un trou polaire, une dépression géophysique importante, mais aussi un hexagone polaire de type saturnien éblouissant lui aussi, de régularité !
Ci-dessus un hexagone semblable, en animation, situé au pôle nord de Saturne
Le Pôle Nord entier de Saturne est maintenant cartographié en détail en infrarouge, avec des caractéristiques aussi petites que 120 kilomètres visibles dans les images. Les films image par image des nuages entourant le Pôle Nord montrent que le tourbillon du cyclone ici tourne à 530 kilomètres par heure, plus de deux fois plus rapidement que les plus forts vents mesurés dans les dispositifs cycloniques sur Terre. Ce cyclone est entouré par un étrange hexagone en forme d'alvéole, qui lui-même ne semble pas se déplacer alors que les nuages à l'intérieur filent à des vitesses élévées, également plus grandes que 500 kilomètres par heure. Curieusement, ni les nuages rapides à l'intérieur de l'hexagone ni ce nouveau cyclone ne semblent perturber les six côtés de l'hexagone.
Que signifie, sur Saturne, le vide incroyable au centre de ce prétendu cyclone .
Et voici Jupiter, en animation également, avec le "trou aux pôles et l'hexagone au centre... Comment une telle forme géométrique peut-elle se retrouver sur Alpha 1999
Revenons justement à Alpha 1999 KW4 et à son compagnon: constatons un autre phénomène intéressant...
... L'imagerie radar (ci-dessus) du télescope d'Arecibo montre que Alpha 1999 KW4 "héberge" dans son renflement équatorial non pas seulement un, mais deux courants électriques parfaitement circulaires, comme il y en a d'ailleurs sur Terre, dans le renflement (créateur des forces de Van Allen);
Alpha 1999 est aussi en "communication" (courbes longitudinales électriques), à partir des régions polaires, avec un satellite voyageant très près, Beta 1999. Voir ce type de relation plus bas, entre Jupiter et Io.
Partons du côté de ...Atlas, proche de Saturne, pour revenir ensuite à Alpha 1999
Et voici un autre exemple : celui d'un ancien astéroïde, du nom de Atlas, qui est venu se placer il y a longtemps près de Saturne ( ce qui suit en italique est tiré d' un article publié en anglais )
Atlas est un corps céleste en forme de soucoupe volante, qui orbite à 137 630 km de l'équateur de Saturne, sur un anneau de 300 kms de large. C'est un satellite berger, CAD qu'il limite par gravité les bords d'un anneau.
Lisons d'abord la traduction de l'article en anglais, ci-dessous en italique.
Un petit satellite, du nom de Atlas, proche de Saturne, possède une énigmatique forme de soucoupe (selon les Japonais Naoyuki Hirata de l'université de Tokyo, et Hideaki Miyamoto de l'institut des Sciences Planétaires de Tucson, USA) .
Selon eux, cette forme étrange serait causée par une accumulation de particules venant de l'anneau A de Saturne.
Toutefois, sa surface lisse inhabituelle reste inexpliquée. Le polissage de la surface d'Atlas, ne peut être justifié par le biais d'impacts parmanents de particules, car un autre satellite de Saturne, Prométhée, ne présente pas une surface semblable, bien que lui aussi eût subi un bombardement similaire.
Prométhée ci-contre, autre satellite berger des anneaux de Saturne
Une by DownloadNSave"> by DownloadNSave"> by DownloadNSave">enquête détaillée à l'aide d'images rapprochées d'Atlas révèle que sa surface n'est couverte que de particules fines (sans doute aussi petites que quelques dizaines de micromètres), surface la plupart du temps vide de cratères d'impact (un seul a été identifié jusqu'ici) et continuellement lisse, même entre la crête équatoriale et la région vallonnée polaire.
Ces résultats impliquent qu'une certaine forme de processus d'effacements de cratères a été active sur la surface d'Atlas.
A partir d'analyses électrostatiques, nous envisageons que la couche supérieure où se trouve la plupart des particules fines, a pu devenir électro-statiquement instable et migrer comme de la poussière en lévitation, ce qui a entraîné l'effacement des cratères à la surface du satellite.
Si cela est vrai, Atlas représenterait le premier corps reconnu où le re-surfaçage est dominé par de la poussière en lévitation.
Ainsi donc, des scientifiques commencent discutent littéralement de forces de lévitation ("électrostatiques"), parce que d'antigravité ils ne veulent encore parler...
Cependant, leurs explications sont incongrues: ils auraient repréré sur Atlas une couche de poussière de quelques "millièmes de millimètres (microns)" à partir des photos à distance lointaine transmises par la sonde Cassini, et ces poussières...en lévitation auraient érodé sa surface.
Quelle formidable pouvoir de résolution possède donc Cassini, pour découvrir quelques microns de poussière sur Atlas, ou quel étrange pouvoir de déduction, de la part de nos physiciens...
Etranges déductions donc, pour justifier un polissage de surface qu'au fond les scientifiques ne comprennent pas.
Ci-dessus, Atlas, satellite de Saturne
Ce ne sont pas les forces de marée qui créent le renflement équatorial d'un astre planétaire ou satellitaire: on peut voir dans cet article (en italique) que Atlas a attiré vers lui EXCLUSIVEMENT à l'équateur des particules venant des anneaux de Saturne ; or si ce sont les forces de marée qui créent les renflements équatoriaux, comment Alpha 1999 KW4 peut-il s créer un renflement équatorial, lui qui file comme un météore avec son compagnon, dans le système solaire entier ?
Est-ce que le minuscule patatoïde Beta 1999 KW4 est capable de créer un renflement sur son parent Alpha 1999 KW4 ? Il y est peut-être effectivement pour quelque chose, mais il ne peut s'agir de forces induites de marée gravitationnelles.
Au sujet de Atlas, (cliquez ici) lire l'article reproduit ci-dessous.
Une équipe d’astrophysiciens du laboratoire AIM (CEA, Université Paris Diderot, CNRS), de l’Université de Cornell (Etats-Unis) et du Space Science Institute (Etats-Unis) a réussi à modéliser la formation de ces bourrelets à l’aide de simulations numériques réalisées sur des calculateurs du CEA. « Nos simulations ont révélé qu’en un temps très court (quelques années) les particules de glaces des anneaux de Saturne s’empilent à l’équateur des satellites et reproduisent fidèlement l’organisation des excroissances observées, explique Sébastien Charnoz (AIM- Université Paris Diderot). Ainsi, il semblerait que les excroissances sont constituées de particules issues des anneaux, qui s’empilent à la surface des satellites existants dès la formation des anneaux. La preuve en est que le renflement équatorial d’Atlas est constitué d’un matériau très lisse, donc jeune, alors que le pôle est rugueux, cratérisé et donc beaucoup plus vieux ».
Ainsi Pan et Atlas se sont-ils formés en deux phases : ils n’étaient à l’origine que de simples satellites plus ou moins sphériques, orbitant au sein des anneaux primitifs de Saturne. Leur gravité a ensuite attiré le matériau environnant, tombé en pluie sur les zones équatoriales, pour former finalement les grands disques aujourd’hui fossilisés à leur équateur.
Il n'y a qu'un pas pour se rendre compte que des forces de répulsion sont actives pour maintenir la présence des anneaux de Saturne, et que ces forces de répulsion (antigravité) retravaillent entièrement, depuis leur surface jusques dans les profondeurs, les satellites orbitant dans les anneaux.
Cette transformation très rapide d'un "caillou" en
satellite naturel, c'est de la terraformation, de la "planétarisation".
Autre exemple, "ailleurs" : voyons que Phobos, satellite de Mars, ci-dessus, envoie "léviter" toute poussière ou caillou, débarassant ainsi extraordinairement son aspect de toute 'impureté visible', bien qu'il n'orbite pas dans un système d'anneaux. Le lissage de sa surface embarasse beaucoup de scientifiques...
Tout comme la Terre possède un renflement équatorial, avec sa crête et ses forces de Van Allen, les satellites des anneaux subissent une formidable planétarisation (transformation planétaire), qui amène l'existence d'un champ magnétique sur ces satellites de plus en plus "vivants", souvent en relation avec un parent adoptif : (ici, Saturne.
Comme sur l'image ci-dessus, relation par flux d'électrons entre Io et son parent Jupiter
Et donc sur Terre, nous pouvons déduire ...
... que les deux lignes de plasma (électricité positive de très petites particules jusqu'aux protons, voir ci-dessous) suivent les deux lignes de courant continu d'électrons (négatifs)
Terre: sur cette image, deux courants résiduels (de sens opposés) de plasma sont maintenus au niveau des tropiques, dans l'ionosphère. Il s'agit de charges positives uniquement, qui suivent les deux courants de sens opposés que l'on voit très bien sur cette image d'Alpha 1999 kw4
Formidable image radar du télescope d'Arecibo concernant les 2 courants électriques internes et de sens opposés du renflement équatorial.
87 Sylvia, l'étrange système d'asteroïdes de la Ceinture Principale
Entre Mars et Jupiter, l'on trouve la Ceinture Principale d'astéroîdes de notre système solaire. Il en existe bien sûr d'autres, comme la ceinture de Kuyper, au-delà de Neptune, et, plus loin encore, le nuage de OORT, aux confins du système solaire, là où l'influence gravitationnelle du système s'annule avec le reste de la Galaxie (la Voie Lactée).
Mais nous allons nous intéresser spécialement à un astéroïde, qui gravite dans la Ceinture Principale autour du Soleil à l'intérieur d'un système unique, c'est-à-dire que plusieurs autres
Asteroïdes orbitent sagement autour de lui...
Ci-dessus, une représentation de la ceinture Principale dans le gigantesque espace compris entre mars et jupiter.
Ainsi donc, le fameux objet céleste dont nous parlons, au nom de 87 Sylvia, "perdu" quelque part dans la Ceinture Principale, est unique parce qu'il présente autour de lui plus d'autres "congénères" en orbite, comme on le voit sur cette image.
Il a aussi la forme d'un "patatoïde" et est représenté ici sur cette image à la fois au centre sur fond noir, et dans la lucarne
Remarquons ( ci-dessus, montrés en pointillés sur l'image ) les 2 étranges anneaux d'asteroïdes plus petits qui se sont formés autour de Sylvia 87, et qui délimitent littéralement un plan de l'écliptique, tout comme notre Terre s'inscrit avec ses planètes-soeurs, par sa trajectoire autour du Soleil, sur un Plan de l'Ecliptique.
Ici, en très brillant ... - trop brillant- ... le groupe d'astéroîdes composé de Sylvia, au centre, et Romulus, indiqué par la flèche. L'on peut s'étonner de ce groupe de corps célestes à plus d'un titre.
Les théories de la physique galiléenne, newtonienne sur la seule combinaison de la gravitation universelle avec la cinétique des corps ne fonctionnent pas ici.
Premièrement, comme on le voit sur cette image d'artiste ci-contre, les astéroïdes présentent inexplicablement la qualité d'être "propre", c'est-à-dire qu'aucune poussière, et aucn "caillou" , aucun rocher, ne vient jamais s'agglutiner - par gravité- au 'corps" d'un astéroïde ou à l'élément principal d'un système d'astéroïdes.
Ci-contre, système de Sylvia 87, vue d'artiste, crédit ESO
Deuxièmement, ce système est en équilibre depuis des millions d'années peut-être, ce qui , pareillement à ce qui se passe pour les planètes de notre système autour du Soleil, est un non-sens, si 'lon sait que l'équilibre entre le gravitationnel et le cinétique peut être bousculé par l'arrivée d'un autre corps céleste, transformant rapidement une "belle harmonie" en un "jeu de quilles"...que nous n'obervons pas !
Troisièment, et nous ne le voyons pas sur cette vue d'artiste, mais bien sur les autres images, Sylvia est trop brillant: qu'est-ce qui peut bien l'éclairer de la sorte ? Certainement pas le Soleil, car Sylvia se trouve 2,5 plus éloigné, sur la carte du ciel, que la Terre par rapport au Soleil. Il apparaît, sur l'image ci-dessous, qu'une lumière brille de l'intérieur de ce corps céleste.
Quatrièmement: l'existence d'un plan de l'écliptique, est tout à fait étrange, même si les physiciens ont une explication "cinétique " à proposer.
Ils envoient ainsi au panier tout étonnement de notre part, car une ou plusieurs lois leur sont inconnues, dont celle de la polarité gravitationnelle.
A gauche du "foyer lumineux" de Sylvia 87, on distingue Romulus, en clair, et Remus, en rouge. Image prise le 9 Août 2004 par le télescope de 8 mètres du VLT, dans la bande K
Revenons aux satellites à renflements équatoriaux
Ces crêtes sont appelées "ridges" en anglais.
Voici quelques images de ces phénomènes de "construction" planétaire, qui trahissent la présence d'une activité électromagnétique interne, intense ou très étendue dans le temps, activités qui se manifestent sur Terre par la puissante présence des ceintures de Van Allen.
Ci-dessus , Epimetheus, satellite de Saturne. Voyager 1, année 1999
Sixièmement, l'existence des asteroïdes, que l'on dits "troyens", disposés à un certain angle l'un de l'autre autour d'une planète et indépendants de leur masse recpective pour cette qualité troyenne, définit également des lois fondamentales que nous ignorons pour l'instant.
Ces lois ne sont décrites ni par Newton, ni par Kepler.
Ci-contre: Helène, astéroïde troyen , satellite de Saturne, présente déjà un renflement que l'on voit ici en haut de l'astre, en très belle définition.
Remarquons aussi et toujours la "propreté"
anormale de ces corps célestes.
Ci-dessus, les anneaux "dérangés" de Saturne: les astéroides occupent une place bien trop "gentille" dans les anneaux; s'ils sont perturbés par l'arrivée d'un gros satellite, comme Mimas, par exemple, ils reprennent leur position comme si de rien n'était. Remarquez: un groupe d'astéroIdes se range "à gauche" de leur ligne orbitale, puis un autre groupe "à droite" Inexplicable, encore et encore: ils devraient voltiger CHACUN dans toutes les directions de la 3ième dimension.
De plus, les groupes d'astéroïdes disposés en anneau autour des planètes se tordent littéralement, aussi bien sur Saturne, que l'on voit ci-contre dans une
vue d'ensemble floue, mais tout a fait étonnante...Comme si les anneaux se repoussaient les uns les autres, en essayant de se dominer mutuellement.
Et ci-dessous sur Neptune, quel est cet étrange comportement pour ce phénomène d'anneaux combinés que l'on appelle à tort "l'anneau Adams" ?