La collection élan d'elles, " la blanche " de chez Elan Sud, vient de s'étoffer d'un 7e titre : Femmes en leurs jardins, de Denise Déjean.
Ce roman était attendu. Ses lecteurs connaissaient Denise pour Lardoulens, un roman de terroir truculent avec des personnages bien campés. Ils ne s'attendaient pas à un tel renouveau, la finesse de sa nouvelle écriture, de sa perception de la migration des peuples à travers le temps et la condition des femmes qui suivaient les hommes fuyant la Révolution, la faim ou la guerre, et qui cherchaient une terre pour reconstruire leur vie.
Femmes en leurs jardins est une ode à la vie, une invitation à regarder l'autre avec compassion et générosité.
Les femmes, qu'elles soient d'ici ou d'ailleurs, thème de la collection qui a inspiré l'auteur, ont les mêmes aspirations, les mêmes besoins, les mêmes rêves...
Sorti le 9 août en avant-première du Salon du livre de Tarascon-sur-Ariège, lors d'une séance de dédicace privée, et proposé au public le lendemain sur le Salon, Femmes en leurs jardins a reçu un excellent accueil. Le voilà propulsé pour un avenir certain.
Femmes en leurs jardins, de Denise Déjean
Collection élan d'elles
Format 120 X 210 mm
368 pages - Prix : 22 €
EAN : 9782911137365
4e de couverture :
En quête d'une terre d'accueil ou d'un travail, les peuples ont toujours migré. Les maris ont loué leurs bras et ouvert les jardins. Les épouses ont sculpté les parcelles avec amour pour enrichir l'ordinaire.
Asya la Russe, Maria l'Espagnole, Drusilla l'Italienne et Djédjila la Kabyle ont travaillé, aimé et souffert au cœur des jardins de la Vieille Ville. Au fil du XXe siècle, Montorgel s'est teintée de saveurs et de couleurs venues d'ailleurs.
Un tableau humaniste sur la mémoire collective.
Elle a cosigné plusieurs ouvrages ethnographiques sur les Pyrénées ariégeoises, avant de se tourner en 1996 vers la nouvelle et le roman, sur les conseils d'un " parrain " de poids : Georges Coulonges. Ce besoin d'écrire a donné naissance à des textes salués par la critique, et récompensés par plusieurs prix.
Le crime du Gamat a reçu en mai 2000 le prix Fabien Artigue de l'Académie des Jeux Floraux.
Lardoulens (ed. Elan Sud, 2010) a reçu le Prix 2012 de l'académie des Jeux Floraux.
Pour lire les premières pages, c'est ici.