Quatrième de couverture :
Un soir à Paris, une jeune femme se fait voler son sac à main.
Il est retrouvé par Laurent Lettelier, libraire de profession, qui ne trouve pour seuls indices sur sa propriétaire que quelques effets personnels (un ticket de pressing, un roman, une pince à cheveux, un carnet…).
S’ensuit un jeu de piste romanesque.
J’ai lu ce livre il y a de cela à peine une semaine… Et je ne m’en souviens déjà plus ou presque. Pourtant, il ne s’agit pas d’un mauvais roman, loin de là et l’histoire est plutôt mignonette… Mais c’est peut-être là le problème. L’histoire est mignonette. Sûrement trop.
En fait, l’idée est intéressante, les péripéties pour retrouver Laure sont bien trouvées mais je suis vraiment restée sur ma faim. Un peu trop de mièvrerie, un peu trop de douceur. Un peu trop éloignée de la réalité du monde en fait.
Les personnages sont attachants, l’écriture est agréable mais ça n’a pas été suffisant… Je n’ai pas cherché à tourner les pages frénétiquement pour savoir ce qui allait se passer la page suivante, comme lorsque je rencontre certains roman…
Ca m’a vraiment laissé un goût d’inachevé. Un peu comme si j’étais passé à côté d’un bon roman. Tout proche mais juste frôlé.
Après, cette critique est assez injuste car je ne me suis absolument pas ennuyée durant ce roman et je l’ai fini rapidement. Mais voilà. Le sentiment qui reste est qu’il n’y a pas vraiment de faits marquants, de choses suffisamment profondes pour que je m’en souvienne….