André de Croonembourg vend le 18 juillet 1760 un clos exceptionnel, celui de la Romanée, à Louis François de Bourbon, prince de Conti, pour la somme de 80.000 livres (plus 12.400 livres de dessous-de-table). Un prix extraordinairement élevé à cette époque, pour une vigne qui ne l'est pas moins, puisqu'il s'agit de l'actuelle Romanée-Conti.
En 1544, une veuve de la cité Plappeville en Moselle, fait à son église donation d'une rente de vin hypothéquée sur ses propres vignes, de façon que chaque ménage ait une pinte de vin, le jour de Pâques, à la condition de participer aux prières des habitants. Mais les héritiers contestèrent la validité de cette fondation pieuse et réduisirent la donation à un pot de vin. Les protestants qui habitaient Plappeville réclamèrent : mais il fut établi par acte du 19 juillet 1597 que les réformés n'avaient pas droit au vin de Pâques, et que l'argent de leur part du vin serait employé à l'entretien de l'église.
La loi du 20 juillet 1884 autorise la délivrance aux vignerons, avec une réduction de droits de 50 %, de sucre cristallisé destiné à servir à la fabrication des vins de seconde cuvée.
21 juillet, dicton du jour : Quand il pleut à la Saint-Victor, les vendanges ne sont pas d'or.
La loi du 22 juillet 1927 délimite la zone viticole de production du champagne.
Champagne, film muet d'Alfred Hitchcock (1928) avec Betty Balfour.
Alors que l'importation dans les Pays-Bas des vins et autres marchandises de France est interdite, les habitants de Cambrai et d'autres cités situées frontalières réussissant à contourner cet embargo, Marguerite ordonne, par un édit du 23 juillet 1522, la confiscation des vins introduits en fraude, et décide que le produit des biens saisis serait désormais partagé entre le dénonciateur, l'officier opérant la saisie et le souverain.
La loi du 24 juillet 1894 vise à supprimer les fraudes commises dans la vente des vins.