J'écris ce billet du fin fond d'un bled perdu au milieu de nulle part, ce qu' il est souvent convenu d' appeler chez les citadins "le trou du cul du monde".
Malgré l'enthousiasme prédominant dans certains discours merdiques de pseudo-experts en tout et n'importe quoi, la crise perdure et les temps sont durs pour(presque) tout le monde.
Mon brave Monsieur, ma brave dame, on n'y peut rien sinon courber davantage l' échine et serrer les fesses en attendant des jours meilleurs, voilà ce qui ressort de leurs interminables logorrhées diarrhéiques.
Alors de traitements en lavements, de couleuvres avalées en épidémie de gastro-entèrite à force d'ingurgiter les produits avariès transformés par les charognards qui n'ont que le profit comme ligne d'horizon , quand tout ce beau monde va enfin se lâcher, imaginez le désastre...
Votre défi des prochains jours, placer ce mot dans la conversation.
Dans un article suivant pour élever le débat, nous traiterons de l' incontinence en direct de Montcuq.