Si vous avez suivi mes posts de la semaine, vous avez certainement deviné que le turnball, c'est une sorte de jokari moderne. Souvenez vous... le jokari, c'était la petite balle (en bois ?)accrochée par un long, très long, caoutchouc à un socle en bois, et permettez moi de vous dire que le caoutchouc de mon enfance n'avait rien à voir avec le caoutchouc moderne, et que la probabilité de voir le caoutchouc casser et la balle vous arriver en pleine figure n'était pas négligeable.
Avec le turnball, c'est pareil, sauf que la balle vous arrive en pleine figure même quand son filin ne casse pas. Trop chouette. Sérieusement, les sensations sont très sympathiques, même si c'est quand même bien violent... c'est qu'elle revient vachement vite vers vous, la balle, par n'importe quel côté (haut, bas, gauche, droite), d'autant plus si vous jouez à deux... Vous venez de la renvoyer, et hop, elle est déjà de retour, de préfèrence dans le sens dans lequel vous ne l'attendiez pas.
Vous l'aurez compris, le but, c'est de l'intercepter pour éviter qu'elle ne fasse un tour complet autour du mât. Et c'est quand même fichtrement corsé. Ca développe les réflexes, pas de doutes, en particulier celui d'évitement ;) parce que non, vraiment, vous ne voulez pas vous prendre une balle qui vient d'être frappée...
En résumé, les points forts: vitesse, développement des réflexes, variété des coups (de raquette !), jouabilité, défoulement, possibilité de jouer seul.
Les points faibles: pas de mobilité (à part du haut du corps), violence des coups (évitez de vous trouver dans le périmétre intérieur de la balle !), raquettes inconfortables (et pourtant j'ai des mains habituées à tenir un outil !).
Notes pour moi-même:
1. Retrouver ma raquette de tennis.
2. Arrêter de parler de moi à la troisième personne.
Turnball de Decathlon
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