Ne connaissant aucune des trois victimes, ma réaction initiale en est une de sympathie pour leur famille et pour Schots qui est toujours vivant, surtout en considération du fait qu'ils avaient tous les trois dans les 20 ans au moment de l'accident. Comme toujours dans de pareils cas, il n'est pas difficile d'imaginer la souffrance des proches. Et même si dans les faits, des accidents similaires impliquant des jeunes se produisent tous les jours avec des conséquences aussi graves, le côté public de la chose force une réflexion et une réponse massive dont l'analyse est le propos de cet article.
D'un point de vue sociologique et même du point de vue Web 2.0, je me demande si des organismes qui oeuvrent au niveau de la prévention des accidents de la route ou sportifs ne devraient pas tirer des conclusions de ce qui se passe sur le Web en ce moment.
Si je dis ça, c'est que les internautes semblent vraiment porter une grande attention et s'impliquer via des commentaire sur les sites Web qui présente les nouvelles. Selon moi, cette participation indique une volonté de faire partie d'une communauté de gens dont le but est de communiquer des sentiments personnels. Indirectement, cela représente une belle opprotunité pour des organismes de faire passer des messages.
Je vous invite à visiter le blog sur Benjamin Schots et vous constaterez que les articles qui offrent des nouvelles sur la progression du rétablissement de Benjamin enregistre en moyenne environ 500 commentaires, ce qui est incroyable! Même chose sur l'article de RDS annonçant la mort de Luc Bourdon qui enregistre un nombre nettement supérieur à la moyenne de commentaires. Ces deux exemples sont vraiment intéressants d'un point de vue Web 2.0 dan sla mesure où on voit bien l'utilité de permettre aux internautes de participer au contenu d'un site ou un blog.
Voici l'accident de Benjamin schots pour ceux qui ne l'ont pas vue :