Je ne suis pas spécialement une princesse mais je t'avoue que, quand au bout de 14 sec, j'ai entendu ce rot très sonore, je me suis demandé si j'allais poursuivre l'écoute, la première fois.
Je suis restée jusqu'au bout, et j'ai bien fait. Comme tu vas pouvoir le constater par toi-même dans une poignée de secondes, Jonathan Keevil mérite toute ton attention. Ce son lo-fi qui fait que tu as un peu l'impression qu'il est en train de jouer dans ta cuisine (oui, ma cuisine est grande, ça résonne un peu), cette voix trainante et ce timbre un peu rugueux : j'aime tout de ce morceau (que tu as peut-être découvert en visionnant le film Bellflower).
Le voici, monte le son avant de le lancer histoire d'en profiter pleinement (conseil d'amie):
Ah punaise! En écrivant je me dis "mais j'ai l'impression d'avoir déjà écrit un truc là-dessus" et je vais vérifier -par acquis de conscience- et là BAM, voilà (ça fait trois ans aussi, de l'eau a coulé sous les ponts depuis). Bon, disons que si tu étais passé à côté la première fois, c'est très bien et si tu avais déjà découvert tout ceci par ici, désolée pour la redite.
(J'y vois la preuve que je suis définitivement beaucoup trop fatiguée pour envisager autre chose que d'aller larver devant une série)
Re-XX