15 techniques pour le storytelling de votre marque (3/3)

3/3, 15/15 : voici le dernier épisode de notre série sur les bons conseils pour travailler le storytelling d’une marque.

Le premier épisode et le second avaient déjà exploré 10 recommandations.

Please, une surprise :

Pas de bonne histoire sans surprise. Il peut s’agir de la situation initiale de l’histoire, d’un déroulement inattendu de l’intrigue, d’une fin contraire à toute attente… La surprise va maintenir l’attention de l’auditoire, en évitant sa dispersion vers d’autres histoires concurrentes.

Un bon début, milieu et fin :

C’est la formulation classique d’une histoire. Mais évidemment, pour une histoire d’aujourd’hui, on sera bien plus subtil que cela : le début de l’histoire ne sera pas forcément… au début de l’histoire. Toujours est-il que le commencement de l’histoire (pas le début, mais l’autre… pour ceux qui suivent !) doit attirer l’attention, et le milieu la maintenir, alors qu’à la fin, on cherchera à inviter le public à passer à la suite… de l’histoire (achat etc.). Les concepts de début - milieu - fin ont été très bien développés par Aristote.

Evitez les “morales de l’histoire” :

Dans une très bonne histoire, le message est implicite et l’auditoire suffisamment éclairé par l’histoire pour conclure lui-même. On perd beaucoup de force quand on dit au public ce qu’il doit comprendre. Surtout de la force de propagation, car l’auditoire aura nettement moins envie de partager une histoire sur laquelle il n’a pas vraiment eu prise !

Soyez naturel :

Que ce soit à l’oral ou à l’écrit, ne soyez pas endimanchés dans votre expression. Soyez vous-même, avec vos forces et aussi vos défauts, qui rendront votre histoire encore plus humaine. Vous vous souvenez ? L’un des premiers conseils avait été de ne pas considérer la marque comme une machine… Evidemment, cela ne signifie pas sortir son histoire en un seul jet sans même la relire !

Soyez visuel :

On ne parle pas ici d’illustrations avec des photos, du moins pas uniquement. On privilégiera aussi des mots visuels. Décrire le contexte, la scène est un moyen d’être visuel, le plus facile. Utiliser les différents sens par lesquels nous percevons les choses est un autre moyen efficace. Et enfin, utiliser des visuels en temps que tel est également possible -photos, vidéos, infographies, diaporamas en priorité.