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Les personnes dont la responsabilité pénale serait engagée dans ces arrestations arbitraires doivent répondre de leurs actes devant la justice, dans le cadre d'un procès équitable.
Des militants de la société civile, dont cinq jeunes, sont détenus depuis qu'ils ont été arrêtés, le 15 mars 2015, au Centre Eloko ya Makasi, un centre culturel de la commune de Masina, à Kinshasa. Ils assistaient à une conférence de presse après un atelier sur l'engagement civique des jeunes dans les processus politiques. Un journaliste congolais détenu à leurs côtés a été relâché le 17 mars au soir.
"Les autorités de la RDC doivent libérer immédiatement les militants détenus pour s'être réunis pacifiquement et exprimés librement", a déclaré Christian Rumu, chargé de campagne à Amnesty International pour la région des Grands lacs.