Sur le fond comme dans la forme, on ne peut plus appeler cela des négociations. Quand vos équipes doivent attendre huit heures, dont trois enfermées dans un box, pour signer un accord à 23h30, comme elles l’ont vécu le 28 février dernier, j’appelle plutôt cela une garde à vue.
Richard Girardot, PDG de Nestlé France, à propos des négociations annuelles récemment menées avec la grande distribution.