Je me souviens de ce Parcours des Mondes 2012. Dans une galerie de la rue Visconti, je fus saisie par ce fragment. Tellement sensuel, presque vivant !
Probablement encore trop timorée, je ne l'achetais pas. Le lendemain, un point rouge était posé près de lui et je regrette encore ce bouleversant visage que mon esprit se serait plu chaque jour à reconstituer sans fin.
Chez Maine Durieu, tout était ainsi, sensible et émouvant.
Souvent des "petits riens" comme certaines parures de son dernier "Salon de beauté". Beaucoup de bronzes, elles les connaissaient bien...
Et puis enfin ses "Sacrées Baoulé", elles aussi, elle les côtoyait avec familiarité.
Maine n'est plus.
Elle rêvait d'Afrique et l'avait véritablement vécue.
Elle fut l'une des grandes ambassadrices de ses arts.
Pensée affectueuse à Amaëlle Favreau.
Presque Rien était le titre de son exposition de 2012.
Photo 1 de l'auteure à la Galerie, septembre 2012.
Photos 2 et 3 © Galerie Maine Durieu.