Manque d'affection ? Suicidaire ?... Je me demande si ce n'est pas la fameuse "volonté de puissance" de Nietzsche :
Mais il faut que tout se soumette et se ploie à votre gré. C'est ce qu'exige votre vouloir ; que tout s'assouplisse et se soumette à l'esprit, que tout se réduise à en être le miroir et le reflet.Volonté d'avoir le dessus sur l'autre. Si l'autre cède, il a renoncé à son libre arbitre, c'est un esclave, une chose. D'ailleurs, les techniques utilisées ressortissent à l'injonction paradoxale. Et ces moments irrationnels semblent associés, d'après ce que l'on me dit, à des sortes de coups de folie. L'homme se croit génial, il domine le monde, il lui impose sa volonté ?
D'où gueules de bois. Ce qui signifie peut-être que cette "volonté de puissance" n'a rien de définitif. Sorte de pathologie sociale à la Durkheim ? Qui se guérit ? Ou, du moins, "ce qui ne tue pas renforce" ?