Et si à l'approche de Pâques, on se parlait d'amour ?
Voilà un ouvrage qui vous entraînera au cœur d'un rêve merveilleux. Et ce n'est point le talentueux Critique Abdala Koné qui en dira le contraire.
Morceaux choisis de nos échanges inbox au lendemain de la parution de la Critique qu'il en a faite, in Le Nouveau Courrier du Vendredi 20 Mars dernier. Je
précise à toutes fins utiles que nous ne sommes jamais rencontrés auparavant :
Morceaux choisis :Moi :
Merci infiniment pour cette sublime critique
Abdala Koné :
Je n'ai fait que rendre, et seulement en peu de mots puisque c'est juste un article, ce que j'ai lu. Sincèrement, je lis au minimum deux livres par semaine
et pour dire vrai le votre est à part. Je pourrais écrire tout un livre pour l'expliciter. Ce qui fait la différence ce n'est pas l'histoire, mais le style.
Lorsqu' à la page 39, vous écrivez : " Au parfum des roses, se mêle la senteur d'une bougie odorante..."
Avez-vous conscience que c'est de la poésie que vous mêlez au cheminement de votre prose ou cela est juste instinctif?
Moi :Honnêtement, je crois que c'est plutôt instinctif. J'aime parler d'amour et en ces moments-là, je me lâche complètement. Voilà pourquoi j'ai pris le pseudo,
une manière de dire, attention, il y a une certaine transmutation.
Abdala Koné :Si en vous, de façon inconsciente existe ce genre de phrase, il est clair que vous êtes poétesse en puissance. Toutes vos œuvres en ressentiront les effets ;
et ce livre a vu déteindre sur lui cette esthétique du langage que l'on trouve très peu chez les autres. Les descriptions et les flash-back ont coulé
parfaitement dans le lit de ce fleuve "odorant".
Félicitations!
C'est toujours un plus que de lire autrui, car on apprend toujours.
Moi :
Waoh! Standing ovation!!! Merci infiniment. Jusqu'à maintenant, j'ignorais que j'étais poétesse. Merci de me faire découvrir un autre pan de mon talent.
Abdala KonéEssayez-vous à la poésie, vous verrez que les vers nectarifères couleront aisément tel le Nil dans son délicieux lit.
Moi :
Aucun problème, je vais tenter l'aventure. Quel langage! mon Dieu!!!
Abdala KonéLe livre commence par une rêverie dans un endroit de rêve.....ce n'est pas rien. Au fond, notre bouche accouche de la gestation de notre subconscient. Et
même quand l'on essaie de voiler quelque chose, on y laisse toujours une partie de nous. Dans la critique que j'ai fait du livre de Phillipe Pango, je cite
Cocteau pour finir
" Une lettre anonyme est toujours signée"
Rires
Moi :
Ouiiii!!! Mdddrrr! C'est vrai!!!
Il fallait coller au titre et faire vraiment rêver, d'autant que l'amour inclut le rêve, le rêve d'un bonheur à partager. Autrement, c'est trop quelconque.
Abdala Koné :J'adore ce cheminement. Le titre est accrocheur. Toutes les femmes à qui j'ai parlé du livre m'ont promis de l'acheter. Ton livre me donne encore à lire de
la poésie autre part que dans un recueil de poésie. Et cela est toujours une expérience payante.
Rires
Et pour terminer, un commentaire qui en dit long sur le blog de Félicité Annick FoungbéCette " Magie de la saint valentin'' si bien récit-ée dans cette ouvrage est indubitablement l'oeuvre d'un mage....
Merci pour le bonheur... un livre à recommander...!