Viral

Viral est le premier tome d’une série de romans que Kathy Reichs, l’auteur des aventures de Temperance Brennan, écrit avec son fils Brendan. En 2015, il est suivi de Crise, Code et Risque. Il introduit Victoria Brennan, dite Tory, une adolescente très intelligente qui n’est autre que la nièce de Temperance à qui elle ressemble beaucoup. La célèbre anthropologue lui a d’ailleurs déjà offert ses premiers outils d’excavation !

Tory habite à Charleston en Caroline du Sud. Il y fait chaud, elle y est un peu isolée du monde mais a trois amis dont elle est inséparable : Hiram, Ben et Shelton. C’est avec eux qu’elle observe les singes et les chiens-loups dans la nature. Qu’elle entre également dans des bâtiments par effraction et qu’elle enquête sur un crime vieux de plusieurs décennies. Mais leur curiosité, leur humanité et leur détermination les exposent sans qu’ils le sachent à quelque chose qui va changer leur vie…

Entre ses découvertes macabres, son amour pour la nature et surtout pour les chiens, les secrets enfouis qu’elle fait rejaillir à la lumière, son humour ou encore sa relation avec son père, Tory, narratrice pétillante, a de quoi intriguer, captiver, faire rire et frissonner. Mission réussie, elle entraîne ses lecteurs dans une intrigue policière intense parfaitement ficelée à laquelle elle ajoute des moments de légèreté quand elle le peut. La saveur de celle-ci est relevée par une petite dose de fantastique qui lui donne quelque chose en plus. Autre atout de cette lecture vivante et absorbante, les péripéties de cette équipe de choc bien attachante semblent convenir aux adolescents comme aux adultes.

Présentation de l’éditeur :
Tory Brennan n’est pas la nièce de sa tante pour rien… À 14 ans, elle tient déjà beaucoup de Tempe, l’anthropologue judiciaire, à commencer par le goût des sciences et du risque. Dans cette île isolée de Caroline du Sud, où sa petite bande aime à vadrouiller, les plages et les bois regorgent de sujets curieux : de coquillages, de singes, de chiens-loups, et de cadavres. Des restes humains auxquels les quatre adolescents auraient mieux fait de ne pas s’intéresser…