Deuxième épisode de notre série sur le storytelling de marque. Le premier avait déjà dévoilé 5 techniques utiles.
Voici 5 autres techniques pour le storytelling de votre marque.
Gardez le rythme :
Votre storytelling est trop lent, c’est à dire que votre histoire n’est mise en contact que très épisodiquement avec vos publics ? Ils vont perdre le contact. Votre storytelling est trop rapide ? Ils auront du mal à vous suivre, car ils n’ont pas que vous comme marque dans la vie. C’est vrai de manière générale, et ça l’est encore plus quand le storytelling se décline en présentation orale, vidéo, quand la voix a un rôle actif à jouer.
Voici d’ailleurs, en vidéo, les conseils du coach Lorenzon Pancino dans ce domaine.
Ne soyez pas impersonnel :
Votre marque n’est pas une machine, un robot (bref, ce n’est pas qu’un tiroir-caisse). Derrière, il y a de vraies personnes, pas seulement un concept. Et qui dit humain dit fragilité, erreurs, échecs même. Ces moments difficiles ne doivent pas être gérés “comme si rien ne s’était passé” mais être intégrés au storytelling de la marque. La connexion avec les publics ne pourra être que plus approfondie.
Focalisez sur l’humain :
C’est le prolongement du conseil précédent. Qui dit storytelling dit émotion, et l’émotion, c’est complètement humain. Les faits, les chiffres, tout cela est utile, ils aident à convaincre, mais les histoires ont la faculté de s’ancrer dans nos mémoires. Les personnages de ces histoires seront des connecteurs puissants avec le public.
Patrick O’Neill, de l’agence de publicité TBWA, explique comment cela fonctionne :
Mettez bien l’enjeu en valeur :
Au-delà de la légitime ambition de vendre, la marque doit devoir faire face à un enjeu, un défi, et il ne doit pas être facile à gérer : il doit y avoir du conflit, de la tension. Montrer les personnages de l’histoire faisant face les rend plus humains, et connecte le public au récit. Une empathie se développe, et ce d’autant plus que l’enjeu sera ressenti comme tel par le public, parce qu’il vit la même chose !
Utilisez une structure narrative :
Il y a plein de manières d’écrire une histoire, mais le hasard, l’improvisation n’en fait pas partie. Une structure narrative est indispensable pour construire une histoire. Le voyage du héros, par exemple, en fait partie. L’inspiration est une chose, mais elle doit être cadrée.