Le crime de l’Orient-Express a été publié pour la première fois en 1934. Il met en scène le célèbre Hercule Poirot. Alors que ce dernier s’apprête à aller faire du tourisme à Istanbul (Stamboul dans le livre), un télégramme le presse de revenir à Londres. Il monte donc à bord de l’Orient-Express et y retrouve un de ses amis : Monsieur Bouc. Un premier fait étrange annonce que ce voyage ne sera pas comme les autres : le train est plein, fait rare à cette époque de l’année. Puis, dans la nuit, un américain répondant au nom de Ratchett est tué à l’arme blanche dans sa cabine.
Dans le train qui est à l’arrêt jusqu’à nouvel ordre à cause de la neige, voilà une nouvelle enquête pour le détective belge. Chacun leur tour, les passagers sont interrogés, les faits recueillis et analysés. Le lecteur assiste aux interrogatoires du Colonel Arbuthnot, de Greta Ohlsson, du comte et de la comtesse Andrenyi, de la princesse russe Natalia Dragomiroff, de Pierre-Michel le conducteur français ou encore d’Edward Masterman. Il examine lui aussi les dires et les mouvements.
Mais Hercule Poirot et sa moustache forment un duo qui ne pense pas, ne comprend pas, ne déduit pas comme tout le monde et cette intrigue qui s’inspire de deux faits réels ne semble pouvoir être résolue que par cette équipe de choc au charme fou. Entre travail des méninges, clichés, humour et surprises, Agatha Christie offre ici un de ses ouvrages les plus connus et sa lecture fait aisément comprendre pourquoi.
Présentation de l’éditeur :
Dans l’Orient-Express bloqué par la neige, le fameux détective Hercule Poirot mène l’enquête. Puisque le criminel ne peut être que dans le wagon, il lui faut examiner tous les éléments: les douze voyageurs de nationalités différentes, les douze coups de poignard, et les alibis de chacun…