Je pense que cette gauche de la gauche (puisque c'est d'elle qu'il s'agit) a franchi depuis bien longtemps les lignes blanches et jaunes et de toutes les autres couleurs (sauf le rouge).
A Francfort aujourd'hui, à Notre-Dame-des-Landes, Sievens hier, ou Lyon avant hier (les "antifascistes" qui le sont, fascites) nous avons affaire à des délinquants. Qui ne représentent rien dans les urnes, puisque le peuple les fuit. Mais qui fait régner une terreur dans la rue. En toute impunité.
Pendant ce temps, on fait des choux gras sur des cons d'extrêmes droites qui expriment leurs conneries sur le net ou dans la presse. Par contre, la gauche de la gauche casse dans les rues. Et cela semble passer, puisque certains du camp du bien veulent faire des alliances électorales avec eux.
A ce propos quand même... On nous a répété pendant des jours "padamalgam" pour qu'on évite d'associer une religion avec des actes abjects. Que penser de l'amalgame total qui est fait entre des abrutis finis et aujourd'hui presque un tiers du corps électoral ?
Et un parti politique que je combats politiquement, qui fait une campagne dégueulasse chez moi, et qui empêche mon camp politique d'être majoritaire dans mon pays.
Philosophiquement parlant, quelque chose m'échappe.
Nous vivons une époque délirante...