J'ai lu quelque part que dans l'Hindouisme, le bonheur est une joie intérieure que rien d'extérieur ne peut ébranler ; c'est criant de vérité ! Cela fait un moment que j'ai cessé de considérer le bonheur comme étant une destination lointaine. J'ai depuis, appris à pratiquer la félicité au quotidien, et ça me réussit bien.
J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé. Voltaire
Dans quelques jours (le 20 mars), la planète entière fêtera la Journée Internationale du Bonheur. Je saisis donc l'occasion pour remettre une couche -positive- sur un thème que j'adore aborder, mon sujet de prédilection : le bonheur !
On appelle règle de trois, un problème dans lequel il s'agit de déterminer une grandeur (reconnaissance) qui soit dans le même rapport ou dans un rapport inverse à d'autres grandeurs connues ( rancœur et réflexion).
La rancœur, c'est du PH, un acide qui vous ronge jusqu'à l'os ! Elle se nourrie de vos maux, vos peines, vos déceptions et s'installe dans un coin de votre esprit pour ne plus en sortir. Elle contamine le cerveau d'idées sombres et de mauvaises ondes. Elle est buttée, vicieuse, rancunière et mauvaise. La rancœur, c'est cette petite voix maléfique qui arrive à vous convaincre que le monde entier est pourri et qu'il faut le châtier sans scrupules ! C'est cette même voix qui vous murmure et vous ordonne de vous isoler, de couper toutes les fréquences, de mettre fin à toute forme de contact. La rancœur, c'est un faux allier qui vous invite à la vengeance pendant que le monde, ce monde qui était le votre, profite des beaux jours, passe de bons moments et se créer des souvenirs. Des souvenirs dont vous ne ferez pas partie car cette même rancœur vous colle comme une sangsue. Elle est trop occupée à remettre le passé sur le tapis au lieu de vivre pleinement le moment présent pour se construire un bel avenir. Cette canaille est incapable d'oublier, d'avancer, d'évoluer, de progresser et de tourner la page. Elle rage à l'idée même d'évoquer le bonheur et oublie même d'essuyer la grosse flaque de bave qu'elle a laissé sur son passage.
La rancœur s'énerve sous l'œil amusé de la réflexion qui ne comprend pas pourquoi cette vilaine chose perd son temps. A son tour, la réflexion se glisse dans votre tête pour vous rappeler à l'ordre. Elle vous susurre des idées positives et vous fait songer à tout ce que vous êtes entrain de rater à cause de cette rancœur. Elle purifie votre cerveau et votre âme et vous place sur le droit chemin. Le chemin du bonheur où toutes les choses négatives ne sont pas les bienvenues. Elle vous rappelle certes à quel point vous avez souffert, mais qu'il ne faut surtout pas se limiter à une mauvaise expérience. Elle vous apprend ce qu'est relativiser. C'est là que, comme par magie, vous ouvrez les yeux et réalisez à quel point vous avez été faible. Faible d'avoir, ne serait-ce qu'un instant, écouté la voix malicieuse de cette rancœur qui a failli avoir raison de vous.
Alors dans un élan de réflexion, vous ordonnez solennellement à votre esprit d'éjecter ce mal qui vous ronge ! Ainsi, la dernière grandeur de l'équation envahit votre corps. Elle vous apporte calme, réconfort, plénitude et espoir.
Morale de l'histoire ? Le bonheur dépend bien souvent de notre façon de penser. Peu importe ce que l'on a traversé, ce que l'on possède ou ce que l'on a perdu, c'est notre vision du monde qui détermine notre bonheur. Soyons le changement que nous voulons voir dans ce monde disait Gandhi. Unissons-nous dans cette joyeuse chaîne et cultivons nos petits moments de bonheur, ce monde en a grandement besoin ! & si le coeur vous en dit, partagez ce message pour répandre joie et gaieté à travers la toile (c'est déjà un bon début) ^^
Clique sur l'image pour récupérer le PDF
Une illuminée de plus dans la nature ! Étudiante de 24 ans en communication et relations presse. Bonne vivante à temps plein et blogueuse à mes heures pas perdues. D'un naturel passionné, je prêche l'épicurisme auprès de mes semblables. Geekette dans l'âme, j'aime traiter de sujets divers et variés. Vive l'éclectisme !