Quand le Parisien fait campagne pour Gildas Lecoq et Brigitte Chambre-Martin, la droite! Pour preuve cet article qui fait relation de notre dernier conseil municipal et reprennant en compte-rendu d'une séance dense l'argument politique d'une seule composante de cette assemblée. Pas de débat? Je n'en crois pas les yeux! La définition de débat tant de la part du Parisien que des candidats Lecoq/Chambre-Martin ne se suffit qu'à exprimer un accord. Il y a eu débat et c'est faire injure aux intervenants des différentes expressions politiques que de le nier. Il y a eu une opposition radicale de point de vue, de différences fondamentales d'approches gestionnaires d'une collectivité territoriale. Le propos de Pascal Clerget, belle note d'humour, rappelant que depuis qu'il a l'honneur d'être élu par les fontenaysiens il a pu remarquer que la droite n'a jamais changé dans son appréciation de notre gestion municipale en nous dénonçant perpétuellement sans nuance de précipiter notre ville dans un mur...
Le débat a bien eu lieu et le compte-rendu en sera le témoignage implacable. Cet entrefilet du Parisien est digne de l'époque Amaury où ce journal était le relais des droites. Rien ne justifiait de la part du commentateur de reprendre les appréciations et commentaires partisans donc dénués de toute objectivité de l'alliance uni/ump... Peut-être faudrait-il intégrer cette publication - dont l'impact en terme de lectorat et d'influence sur l'électorat est important - dans les comptes de campagne des candidats Lecoq et Chambre-Martin. Enfin cette publication a été un bon coup de pouce à leur campagne et bien relayée sur les réseaux sociaux. Je suis indigné par ce parti pris d'un journal qui s'inscrit dans le dégât d’une campagne.